Présentation, composition du groupe vocal Passatge.
Le groupe vocal Passatge comportait initialement 4 membres : 3 chanteurs et 1 musicien, principalement guitariste. Le groupe m’a amicalement intégré en fin 2019. Les répétitions se tiennent chez l’un ou l’autre car l’ensemble ne dispose pas de local propre.
Représentations passées.
1. Avant que j’intègre le groupe.
Je note quelques interventions de Passatge dont j’ai eu connaissance, jusqu’en 2018, mais bien sûr le groupe se produisit en d’autres circonstances.
– Temple protestant d’Oloron.
– Festival des vallées à Ledeuix, avril 2019.
– Fête des bergers à Aramits, septembre 2019. Deux chansons pendant le repas (Ofelia et Suu pont de Mirabèl) et une chanson pour le Concours (Vath d’Aspa).
2. Quand j’appartenais au groupe.
– Repas des Anciens dans la Salle des fêtes de Gurmençon, 18 janvier 2020 (16 chansons puis 6 avec le public).
– Animation d’un repas au Foëhn d’Arette, 28 août 2020 (22 chants).
– Souper des bergers à Aramits, 12 août 2021 (12 chansons).
– Animation avec des amis Corses et Patrick Martine, à la Cancha d’Oloron puis au Restaurant Chez Zélie à Féas, 30 octobre 2021 (16 chants). – Visite de l’EHPAD de Jurançon, 23 décembre 2021 (16 chants : 15 + 1 avec les résidents).
– Journée de soutien aux Migrants au château de Saint-Goin le 14 mai 2022 (12 chants).
– 03 juin 2022 à l’Eglise d’Ogeu (cause humanitaire) (6 chants).
– 02 juillet 2022 chez Borderouge à Oloron (marché de producteurs) (21 chants).
– rencontres vocales de la soirée du berger à Aramits (21 juillet 2022) (11 chants).
– 26 août 2022 restaurant le Foëhn à Arette (25 chants : 23 + 2 avec le public). Intervention de Jean-Michel Haritchabalet et Jean Traille sur 7 chansons.
– 05 octobre 2022 à l’EHPAD d’Idron (17 chansons dont 1 avec le public).
– 04 novembre 2022 à l’Eglise de Gurmençon (soutien aux migrants sous l’égide de l’association P.O.U.R.) (10 chants + 1 avec Errejentak + 1 avec Errejentak et Quetzal).
– 15 décembre 2022 à Radio Oloron dans le cadre des soirées béarnaises du jeudi soir (de 20 h à 21 h 30). Emission animée par Daniel Lacue et Angèle, avec Fabrice à la technique. 13 chants (dont un en rappel). Fin de participation, pour moi, au groupe Passatge en mars 2023
3. Depuis que j’ai quitté le groupe.
– 1er avril 2023 à Gurmençon (cantem tots). 3 chants dont un avec les volontaires des autres groupes (Ofélia, las filaires, arron d’aimar).
– 22 avril 2023 à Accous (église), soirée soutien aux migrants (association P.O.U.R.). 5 chansons (Ofélia, las filaires, amor d’Aussau, dime ramo verde, ay linda amiga).
Parmi les autres groupes de cette soirée : Quetzal, Maïténa et son père Milou Castan, Vath d’Aspa …
Titres des chants du répertoire (jusqu’en 2023) Chants Béarnais ou Occitans.
Amor d’Aussau – La Sobirana – Ò mon país – Hamí devíver – Banassa – Los camps de Atenrai – L’Estaca – Las filaires – L’Immortèla – Maria – Ofélia – Qu’èm çò qui èm – Si m’auretz vist – Simon – Vath d’Aspa – Arron d’aimar. Chants Basques.
Hegoak – Bagare. Chant Basco-Béarnais.
De cap tà la libertat. Chants Espagnols.
La rianxeira – Ay linda amiga – Dime ramo verde – El pueblo unido jamásserávencido – En la plaza de mi pueblo – Gracias a lavida – La llorona – La mina Maria Luisa – Te arrepentiràs – Adelita – De colores. Chant Béarnais-Espagnol.
Campesino. Chants Français.
La ballade nord-irlandaise – La complainte du phoque – Les fêtes de Mauléon – Mon Dieu que j’en suis à mon aise – Le refuge. Chants Hébreus.
Erev shel shoshanin – Mohomeneh. Chant Sarde.
Badde lontana. Chant Anglais.
Swing Low Sweet Chariot.
La sixième et dernière partie du Miroir du Rugby concerne les numéros 151 à 180, d’avril 1974 à décembre 1976. S’y ajoute un numéro séparé, le 204, paru en novembre1978.
Comme dans les précédents articles je propose la couverture du numéro du MR mais aussi quelques photos et (ou) articles de pages intérieures, principalement quand cela a trait à l’équipe d’Oloron.
N° 151 : avril (A) 1974. Ecosse- France (19-6)
Estève à la poursuite de l’arrière Ecossais Irvine
N° 152 : avril (B) – mai (A) 1974.
Narbonne-Tarbes (16-9)
Match disputé à Brive dans le cadre des quarts de finale. Le Narbonnais Jo Maso au-dessus du pack tarbais.
N° 153 : mai (B) 1974.
Les demis de Béziers, le champion 1974, Cabrol à gauche (1/2 d’ouverture) et Astre à droite (1/2 de mêlée). En finale victoire de Béziers face à Narbonne.
de g à dr : Cabrol, Armand Vaquerin qui charge, Claude Spanghero, Senal, Martin, Estève.
Salut à Armand Vaquerin, que j’eus l’occasion de côtoyer plusieurs fois, entre autres au café le Mondial tenu par ses parents en haut des Allées Paul Riquet. Sa disparition tragique en bouleversa plus d’un.
N° 154 : juin 1974.
Narbonne-Brive (19-10)
Claude Spanghero marque un essai devant son coéquipier Narbonnais Ferrero et le Briviste Alain Marot, lors de la finale Yves Du Manoir à Colombes le 18 mai 1974.
au premier rang, assis, de g à dr : Lux, Bertranne, Max Barrau, les dirigeants Jean Desclaux, Marcel Laurent, Henri Fourès, Saisset, Dourthe, Fouroux. au deuxième rang, de g à dr : Cabrol, Etchenique, Ugartemendia, Paco, Vaquerin, Paul, Gourdon, Romeu, Droitecourt, Pécune, Desnoyers. au troisième rang, de g à dr : Iraçabal, Dospital, Skrela, Rossignol, Senal, Bastiat, Haget, Boffelli, Lassoujade, Aguirre.
N° 155 : octobre 1974.
Gourdon face à un Perpignanais. Jean-François Gourdon, formé au P.U.C. et révélé au Racing Club de France et au Bataillon de Joinville (sous la houlette de Michel Debet) international à l’aile des trois-quarts.
N° 156 : novembre (A) 1974.
Roumanie-France à Bucarest (15-10). Alain Estève poursuivi par Pop le capitaine Roumain.
N° 157 : novembre (B) – décembre (A) 1974.
France-Afrique du Sud (8-10) Richard Astre face aux Springboks Grobler et Fourie.
N° 158 : décembre (B) 1974.
France-Afrique du Sud. Jean-François Gourdon en débordement.
N° 159 : janvier-février 1975.
Walter Spanghero (Narbonne puis Toulouse).
Le plus connu et le plus capé des 5 frères de la fratrie Spanghero, en 2ème ou en 3ème ligne, une des légendes du rugby français.
XV de France du Grand Chelem de … 1968
debout, de g à dr : Greffe, Noble, Lasserre, W.Spanghero, Cester, Plantefol, Bernard Marie. assis sur banc, de g à dr : Bonal, Dourthe, Carrère (capitaine), Maso, Campaès. assis sur sol, de g à dr : Yachvili, Guy et Lilian Camberabero, Claude Lacaze.
N° 160 : 23 janvier 1975.
France-Galles (10-25). de g à dr : à terre Bastiat et Azarète ; debout ou accroupis Vaquerin, Boffelli, Mervyn Davies (capitaine), Price, Windsor, Estève, Saisset, Romeu ; au premier plan Faulkner offre le ballon à Gareth Edwards.
N° 161 : 6 février 1975.
Angleterre-France (20-27). de g à dr : Rives, Paco, Guilbert qui pousse encore, Cholley, Astre, avec le ballon, Claude Spanghero, Skrela.
Dans ce numéro 161 un reportage sur les clubs béarnais voisins et rivaux, Pau et Oloron, tous les deux à cette époque là en haut de l’affiche (la 1ère division comptait 64 puis 80 clubs !). Je ne peux que reproduire ces articles (même difficilement déchiffrables) et photos concernant deux clubs que je suivais de très près, en particulier quand ils s’affrontaient sur les terrains de la Croix du Prince et de Saint-Pée.
Section Paloise, en haut (pour ne pas vexer). debout, de g à dr : Moncassin en survêt, Daniel Desclaux, Paparemborde, Etcheverry, Peys, Aurignac, Loustaudine, Tuloup, Vignolo, Gérard Lom entraîneur. accroupis, de g à dr : Guillemot, Mariné, Denis Desclaux, Gérard Brusque (père de Nicolas futur international à Pau et Biarritz), Ollé, Basly, Carrère. Football Club Oloronais, en bas. debout, de g à dr : Estecahandy, Baleix, Lées, Kouider, Pierre Doumecq, Maleig, Raballo, Petuya, Hours, Soumet (président). accroupis, de g à dr : Barthou, Tristan, Ferrando, Gazo, Micq, Sartolou, Balangué, Descoueytes.
debout, de g à dr : Paco, Vaquerin, Rives, Skrela, Cholley, Guilbert, Claude Spanghero, Estève. assis, de g à dr : Gourdon, Taffary, Astre, Dourthe, Pariès, Etchenique, Bertranne.
N° 162 : 20 février 1975. France-Ecosse (10-9).
de g à dr : au milieu des Ecossais, Astre, Ugartemendia, Rives et le ballon, Guilbert
N° 163 : 5 mars 1975. Irlande-France (25-6).
de g à dr : Rives, Astre qui transmet à Bertanne (12) sous l’œil du demi-de-mêlée Irlandais Moloney.
N° 164 : 20 mars 1975. France-Galles (10-25).
L’arrière Gallois J.P.R.Williams plaqué par son homologue Français Taffary, sous l’œil de Gourdon.
L’équipe de France contre celle d’Ecosse.
debout, de g à dr : Ugartemendia, Vaquerin, Rives, Skrela, Cholley, Boffelli, Guilbert, Claude Spanghero. assis, de g à dr : Gourdon, Taffary, Astre, Dourthe, Pariès, Bertranne, Averous.
N° 165 : avril 1975.
Tarbes-Pau (8-3 ).
En 8èmes de finale du championnat : le 3ème ligne Tarbais Alex Martinez va marquer un essai sous les regards du Palois Lacavalerie et de son coéquipier Néo-Zélandais Mc Nicol. Equipe du Racing C.F. vainqueur de Montferrand en 8ème de finale. debout, de g à dr : Paillassa (originaire d’Oloron), Seemuller, Decrae, Touzard, Peron, Chevalier, Clerc, Michel et Antoine Urtizverea, Folbaum, Bonnefont. accroupis, de g à dr : Gourdon, Saubier, Viviès, Leterre, Taffary, Forner, Labeyrie, Saubesty, Debet.
N° 166 : mai 1975. Le XV Biterrois champion de France 1975. debout, de g à dr : Elie Vaquerin, Teyssier, Christian Pesteil, Paco, Pratx, Armand Vaquerin, Saisset, Rousset, Sénal, Palmié, Estève. accroupis, de g à dr : Lavagne, Casamitjana, Cosentino, Cantoni, Astre, Cabrol, Jean-Pierre Pesteil, Séguier.
N° 167 : septembre 1975.
Jean-Paul Basly.
Longtemps trois-quart centre de la Section Paloise, régulateur des lignes arrières, voici Jean-Paul Basly en couverture de ce numéro 167 du Miroir du Rugby, en place des habituelles vedettes et légendes du rugby français comme du rugby britannique , néo-zélandais, sud-africain … Depuis les années 2010, c’est-à-dire … 35 ans après il m’est arrivé plusieurs fois de le rencontrer en divers endroits du Béarn (Pau, Oloron, Esquiule, Siros) pour des discussions où le rugby ne prédominait pas mais plutôt le chant et la littérature. Car J.P.Basly a troqué les crampons pour la plume (pas la chasse mais l’écriture) : en témoignent les livres écrits de sa main et aussi les revues littéraires auxquelles il participe.
Equipe de France en Tournée en Afrique du Sud durant l’été 1975. au premier rang, assis, de g à dr : Romeu, Aguirre, Bertranne, Pesteil, Astre, le docteur Pène, les responsables de la Tournée Celaya, Batigne, Cazenave, Fouroux, Sangalli, Droitecourt, Averous, Etchenique. au deuxième rang, de g à dr : Harize, Badin, Joinel, Haget, Jullian, Decrae, Guilbert, Cholley, Rousset, Paparemborde, Costantino. au troisième rang, au fond, de g à dr : Dupey, Amade, Revaillier, Peron, Lassoujade, Skrela, Forestier, Yachvili, Brunet.
Le Biterrois Alain Palmié rejoignit la troupe pendant cette Tournée.
N° 168 : octobre 1975. Remise du Bouclier de Brenus à l’A.S.Béziers.
Deux des internationaux Biterrois : Olivier Saisset (3ème ligne) et Richard Astre (1/2 de mêlée et capitaine).
Dans ce numéro 168, photos couleur des 40 équipes du groupe A de première division (il existe aussi à ce moment là un groupe B de première division) . Je ne propose que deux formations de ce groupe A, par chauvinisme Oloron et Pau mais je cite les 40 clubs honorés : Stade Toulousain, Montchanin, Section Paloise, Lavelanet, Valence Sportif, Tulle, S.O.Chambéry, Saint-Girons, A.S.Montferrand, C.A.Brive, Aurillac, Mont-de-Marsan, Lyon O.U., La Voulte, La Rochelle, Bègles, Aviron Bayonnais, Biarritz Olympique, R.C.Nice, R.C.Toulon, Avignon, Vichy, R.C.Narbonne, F.C.Oloron, U.S.Bourg, Bourgoin-Jallieu, Racing Club de France, U.S.Dax, Romans, Marmande, F.C.Lourdes, Stado Tarbais, Stade Bagnérais, Saint-Jean-de-Luz, U.S.Montauban, C.A.Périgueux, S.U.Agen, Mérignac, Béziers, U.S.A.Perpignan.
Pour la saison 2020-2021 ne subsistent de ces 40 formations, chez les Professionnels du Top 14 ou de la Pro D2 (avec parfois des dénominations différentes), seulement 18 équipes. Top 14 : Toulouse, Pau, Montferrand, Brive, L.O.U., La Rochelle, Bègles, Bayonne, Toulon, Racing, Agen, Perpignan (12). Pro D2 : Aurillac, Romans-Valence (regroupé), Mont-de-Marsan, Biarritz, Montauban, Béziers (6).
Section Paloise : debout, de g à dr : Bonnet, Hourquet, Pesqué, Paparemborde, Bonnemazou, Saux, Peys, Aurignac, Bourbon, Tuloup. accroupis, de g à dr : Basly, Guillemot, Tafernaberry, Castagné, Bosc, Brusque, Ollé, Carrère, Fédensieu. F.C.Oloron : debout, de g à dr : Louis Laclau, Estecahandy, Moretti, Lées, Kouider, Uthurry, Borthayre, Raballo, Maleig, Petuya. accroupis, de g à dr : Rechencq, Micq, Tristan, Malo, Sartolou, Conderanne, Bordenave, Barthou.
N° 169 : novembre 1975. France-Roumanie à Bordeaux (36-12). de g à dr : Haget, Dumitru, Skrela, Bastiat avec le ballon, Rives, Fouroux.
N° 170 : janvier (A) 1976. Jean-Pierre Rives.
Emblématique 3ème ligne aile du Stade Toulousain (puis du RCF) et de l’équipe de France dont il fut longtemps le capitaine, Jean-Pierre Rives se lança dans la sculpture sur métal : une de ses œuvres siège dans les jardins du Luxembourg à Paris, face au Sénat.
N° 171 : janvier (B) – février (A) 1976.
de g à dr : Skrela, Cholley avec le ballon, Paparemborde (3), Bastiat, Rives, Palmié, Fouroux (capitaine).
de g à dr : Rives, Skrela, Haget, Paparemborde, Fouroux tenant le ballon, Palmié, Bastiat, Paco(2), Gourdon, Cholley, Romeu à moitié masqué par Dubertrand, Sangalli, Bertranne, Droitecourt.
Petit voyage à Bègles où jouaient à ce moment là les deux avants Oloronais Jean-Louis Vinao et Milo Clémente, qui reviendraient vite à Oloron pour une époque fastueuse du FCO.
debout, de g à dr : Bernadet, Swierczinski, Brouillet, Boucherie, Clémente, Vinao, Michel Geneste, Filet, Junca. accroupis, de g à dr : Vilate, Lesbordes, Bordessoules, Bernard Geneste, Sallenave, Pedeutour, Crampagne, Berrouet, Durin, l’entraîneur Jacky Jameau.
N° 172 : février (B) – mars (A) 1976.
N° 172 bis : mars (B) 1976.
Jacques Fouroux déborde le 2ème ligne Gallois Martin et Gareth Edwards le 2ème ligne Français BenoîtDauga.’
Ce numéro 272 bis ne comportait qu’un grand format replié en 4 avec une photo géante du XV de France 85×25 cm.
debout, de g à dr : l’arbitre Anglais Mr Wellsby, Paco, Paparemborde, Rives, Skrela, Cholley, Imbernon, Palmié, Bastiat, le juge de touche Français Mr Palmade. assis, de g à dr : Gourdon, Bertranne, Droitecourt, Fouroux, Romeu, Pécune, Averous.
N° 173 : mars (C) 1976.
de g à dr : Imbernon (4), Wheel qui pousse, Martin au-dessus, Evans, Skrela au-dessus, Rives, Fouroux qui ouvre sous la menace de Windsor (2).
N° 174 : mars (C) – avril 1976.
de g à dr : Cotton, Bastiat, Dixon, Paparemborde (3), Cholley.
Hommage à cette grande équipe qui nous émerveilla parfois, même quand elle triomphait des tricolores. debout, de g à dr : Bevan, Knill, Price, T.Evans, Martin, Wheel, Faulkner, Windsor, David, Fenwick, Bergiers, Quinnell, E.R.Thomas. accroupis, de g à dr : D.B.Williams, G.Davies, J.P.R.Williams, G.Edwards, M.Davies (capitaine), Bennett, J.J.Williams, Gravell. Sur cette photo il manque Cobner.
N° 175 : mai 1976.
1/4 de finale du championnat de France de g à dr : Luciani, Badin à la passe, Dubertrand, Puidebois, Alain Marot.
Dans ce numéro 177 Oloron apparaît en plusieurs pages et je ne peux résister à les communiquer.
photo du haut : de g à dr : Maleig, Dubor, Raballo, Jean-ClaudePetuya photo du bas : Daniel Tristan déborde pour envoyer Bordenave à l’essai. Au centre Alain Maleig suit l’action.
photo du haut : le Quinze du F.C.Oloron vainqueur d’Avignon en 16ème. debout, de g à dr : Moretti, Estecahandy, Baleix, Lées, Kouider, Borthayre, Uthurry, Maleig, Raballo, Petuya. accroupis, de g à dr : Louis Laclau entraîneur, Rechencq, Micq, Tristan, Denis Laclau, Sartolou, Malo, Bordenave, Balangué, Bascouert. photo du bas: Jojo Lées ouvre sur Malo avec à l’extrême droite Bernard Uthurry, futur Maire d’Oloron.
16ème de finale : Oloron bat Avignon 13-8 à Quillan.
8ème de finale : Dax bat Oloron 14-10 à Mont-de-Marsan.
photo du haut : de g à dr : les Oloronais Maleig, Baleix, Lées qui vient de servir Malo , le Dacquois Brana au milieu et Raballo à l’extrême droite. photo du bas : le centre Dacquois et de l’équipe de France Claude Dourthe (père de Richard, qui sera aussi international) perce devant Maleig et son équipier Benali, suivi de Jean-Pierre Lux au premier plan.
J’écris ces lignes le 16 décembre 2020, le lendemain de l’annonce de la mort de Jean-Pierre Lux, longtemps associé à Claude Dourthe à Dax (en provenant de Saint-Vincent-de-Tyrosse) et en équipe de France, en rivalité avec une autre paire fameuse de trois-quarts centre, Maso et Trillo.
N° 176 : juin 1976.
de g à dr : Senal, Dubroca qui charge, Lassoujade, Christian Pesteil (7)
debout, de g à dr : Ambal, entraîneur (moitié caché), Tolot, Bénésis, Solé, Dubroca, Lassoujade, Conte, Nieucel, Buzzighin, Plantefol, Mouroux. accroupis, de g à dr : Cazaubon, Lacroix, Mazas, Morlaas, Viviès, Laclau, Bernès, Fongaro, Guidi.
N° 177 : septembre 1976.
Deux équipes « rétro » dans ce numéro 177.
debout, de g à dr : Volot (Stade Français), Jean Prat (Lourdes), Eugène Buzy (Lourdes), Guy Basquet (Agen), Jean Matheu (Agen), Jean Princlary (Toulon), Robert Soro (Lourdes), Alban Moga (Bègles). accroupis, de g à dr : Elie Pebeyre (Fumel), Michel Sorrondo (Montauban), Yves Bergougnan (Stade Toulousain), André Alvarez (Racing Club de France), Maurice Terreau (U.S.Bourg), Louis Junquas (Saint-Vincent-de-Tyrosse), Georges Baladié (Bergerac).
En 1946, sortie de la Grande Guerre : en prélude à la reprise du Tournoi des 5 Nations, le XV de France bat les British Empire Services puis l’Irlande à Dublin puis le Pays de Galles (11-0) avant d’être battu d’un point par la Nouvelle-Zélande (3essais contre 3 essais).
de g à dr, en partant du bas : 1er rang : Ruiz, Abadie, Etcheverry; 2è rang : Doumecq, Saux, Vignette; 3è rang : Cazabat, Duluc, Michou, Moncla; 4è rang : Capdouze, Rouch; 5è rang : Lhande, Piqué, Toyos, Clavé.
N° 178 : octobre – novembre (A) 1976.
Plantefol, seconde ligne d’Agen le champion 76.
Dans ce numéro 178, les photos couleur des 40 équipes de 1ère division (on pourra comparer à la liste de 1975 donnée dans le numéro 168 du Miroir du Rugby) : Agen, Albi, Nice, Bourg, Aurillac, Beaumont, Biarritz, Mimizan, Béziers, Perpignan, Pau, La Voulte, Salles, Cahors, Le Creusot, Valence, Toulon, Dax, Racing CF, Saint-Claude, Narbonne, Carcassonne, Bègles, Bagnères, La Rochelle, Brive, Lourdes, Mont-de-Marsan, Toulouse, Avignon, Montauban, Graulhet, Romans, Montchanin, Montferrand, Castres, Saint-Jean-de-Luz, Oloron, Tarbes, Bayonne .
Ont disparu : Lavelanet, Valence, Tulle, Chambéry, Saint-Girons, L.O.U., Vichy, Bourgoin-Jallieu, Marmande, Périgueux, Mérignac,
remplacés par Albi, Beaumont, Mimizan, Salles, Cahors, Le Creusot, Saint-Claude, Carcassonne, Graulhet, Castres.
Je pioche bien sûr dans cette série de 40 équipes celle du FC Oloron :
debout, de g à dr : Capdepon, Estecahandy, Moretti, Lées, Kouider, Clémente, Uthurry, Maleig, Raballo, Louis Laclau, Jojo Chabanne. accroupis, de g à dr : un dirigeant, Micq, Tristan, Bordenave, Denis Laclau, Malo, Bascouert, Balangué, Rénéric le soigneur.
Après le départ de l’entraîneur joueur Jean-Claude Petuya le flambeau est repris avec ardeur et réussite par les entraîneurs Louis Laclau et André Minvielle, et le nouveau leader du terrain Milo Clemente de retour de Bègles. Milo deviendra même international, tout comme son coéquipier Alain Maleig.
Photo 1 : à côté de Clémente ballon en main on reconnaît Kouider.
Photo 2 : Micq 3/4 aile et butteur.
Photo 3 : Lées, Clémente et Raballo dans la fournaise.
Photo 4 : Alain Maleig s’impose dans les airs.
N° 179 : novembre (B) 1976. France-Australie (34-6)
L’arrière tricolore Jean-Michel Aguirre échappe au 3è ligne Australien Anthony Shaw
N° 180 : décembre 1976.
au premier plan, de g à dr : Senac, Bourdillon qui ceinture Paul ballon en main, Mc Nicol et Hopkins.
Ma collection des MR s’achève à ce numéro 180 de décembre 1976. Mais je retrouve un numéro ultérieur daté de novembre 1978, le N° 204 que voici.
N° 204 : novembre 1978. Canada-France à Calgary (24-9). de g à dr : Gallion,Perche, Viviès (10), Maleig, Paparemborde
Dernière composition du XV de France, fac au Canada : Aguirre, Bilbao, Caussade, Bélascain, Novès, Viviès, Gallion, Joinel, Bastiat (cap), Rives, Haget, Maleig, Paparemborde, Perche, Cholley.
Remplaçants : Dospital, Forestier, Béguerie, Lafarge, Aguerre.
Dans ce numéro 204 un article décrit le nouvel entraîneur de la Section Paloise, …l’Oloronais Petuya.
Coup de chapeau à J.C.Petuya qui, en 2020, continue de s’occuper du rugby d’Oloron. Après avoir été joueur, capitaine, entraîneur, il reste un dirigeant ô combien actif, en particulier comme responsable de la buvette. Je le rencontre de temps en temps le dimanche au rugby, sur Oloron ou Aramits par exemple, mais ce sont deux souvenirs parisiens personnels dont je veux parler. Le premier date car Petuya était alors … au service militaire et était sélectionné dans l’équipe de France militaire qui rencontrait les Combined Services (équivalent britannique de notre Bataillon de Joinville). J’assistais à ce match disputé au stade Jean Bouin. JCPetuya formait la 2è ligne avec Matkowski, un Agenais plusieurs fois champion de France du temps des Zani, Lacroix, Sitjar … Petuya et Matkowski étaient supervisés dans l’optique de la grande équipe de France, celle qui dispute le Tournoi des 5 Nations. Tous les deux contribuèrent sans problème à la victoire des Tricolores mais celui qui se distingua particulièrement et se révéla à tous les observateurs fut Benoît Dauga dont on connaît la carrière énorme qui fut la sienne, le plaçant même longtemps en recordman des sélections.
Le deuxième épisode parisien, quelques années plus tard, fut plus personnel, tourné autour de … tournées festives à quelques uns avec démonstration des inévitables chants Béarnais.
Je termine cette longue revue des Miroirs du Rugby par un reportage paru dans ce numéro 204 sur un autre Oloronais, cela va de soi, Alain Maleig, qui terminera sa carrière à Tarbes.
Les quatre premières parties du Miroir du Rugby décrivaient les numéros 1 à 120. Cette cinquième et avant-dernière partie traite les numéros 121 à 150.
N° 121 : octobre 1971.
de g à dr : les Biterrois Buonomo, avec le ballon, Estève, Astre (capitaine), Pesteil. Au milieu d’eux le Briviste Joinel.
N° 122 : novembre (A) 1971.
Jean-Michel Aguirre, demi-de-mêlée du moment, futur arrière du XV de France.
N° 123 : novembre (B)-décembre (A) 1971.
de g à dr : Biescas (Tarbes), Vaquerin et Buonomo (Béziers), Rossignol (Brive)
Un grand nombre de ces joueurs devinrent International A (et pour certains un grand nombre de fois) : Martin, Vaquerin, Saisset, Boffelli, Buonomo, Dubertrand, Aguirre.
N° 124 : décembre (B) 1971.
de g à dr : Hortoland, Dauga, Martin, Bénésis (2).
N° 125 : décembre (C) 1971 – janvier (A) 1972.
de g à dr : Bérot balle en main, Maso, Saisset, Boffelli.
Le maître et l’élève :
Deux gloires de Mont-de-Marsan : André Boniface qui reprend du service dans son club de toujours, quelques années après la disparition de son frère Guy et Patrick Nadal en début de carrière. Boniface fut mon idole d’adolescent et dans la tête j’osais m’identifier à lui quand je jouais (à Saint-Denis). Mai je n’avais ni son style, ni ses jambes, ni son coup de pied, ni sa science du cadrage-débordement ….
Quant à Nadal je me souviens d’avoir assisté, au Parc des Princes, à un lever de rideau de la Finale du Challenge Yves du Manoir (avec Mont-de-Marsan une des deux équipes finalistes) où ce prometteur junior portait déjà les couleurs du Stade Montois et se signalait par ses percées au centre de l’attaque.
N° 126 : janvier (B) 1972.
de g à dr : Bastiat, Martin, Saisset, Vaquerin
N° 127 : février 1972.
de g à dr : trois Biterrois au milieu des Irlandais : Vaquerin, Estève, Astre.
N° 128 : mars 1972.
de g à dr : Estève, Claude Spanghero, Sillières, attitude en altitude, Azarète, Biémouret avec le ballon.
debout, de g à dr : Bénésis, Iraçabal, Azarète, Biémouret, Skréla, Walter Spanghero, Claude Spanghero, Estève. accroupis, de g à dr : Duprat, Lux, Villepreux, Bérot, Barrau, Maso, Sillières.
N° 129 : avril 1972.
Deux Gallois qui ont marqué l’histoire du rugby européen : le demi d’ouverture Barry John et l’arrière John Williams. Le demi-de-mêlée Garreth Edwards complétait ce redoutable duo.
N° 130 : mai 1972.
de g à dr : Claude Spanghero, Slattery, Walter Spanghero, Azarète, Biémouret, Estève, Iraçabal, Fouroux (futur capitaine puis entraîneur-sélectionneur du XV de France), Hipwell qui va plaquer Estève.
N° 131 : juin 1972.
de g à dr : Estève, Buonomo, Saisset, Martin, Armand Vaquerin.
debout, de g à dr : Elie Vaquerin, Martin, Armand Vaquerin, André Buonomo, Saisset, Yvan Buonomo, Senal, Estève. accroupis, de g à dr : Lavagne, Navarro, Cantoni, le Président Mas, Astre, Cabrol, Sarda, Seguier.
En finale victoire 9-0 sur Brive
N° 132 : juillet 1972.
Les deux capitaines terre à terre : Greg Davies et Walter Spanghero. Tournée positive pour le XV de France : nul à Sydney (14-14) et victoire à Brisbane (16-15).
N° 133 : octobre 1972.
Le Palois Marc Etcheverry entouré par les Perpignanais F.Ros (ballon en main) et Brunet.
N° 134 : novembre 1972.
de g à dr : Shell (ballon en main), Faillon, Genois, Moretti, Capdepuy
N° 135 : décembre (A) 1972.
Chaque mois le Miroir du Rugby consacre quelque articles et photos au Jeu à XIII (appelé Rugby à XIII à certaines époques). Mais c’est la première fois que le Jeu à XIII est mis en valeur en couverture. Il s’agit de l’ailier et capitaine du XIII de Grande-Bretagne, Clive Sullivan, suite à un essai personnel.
N° 136 : décembre (B) 1972 – janvier 1973.
Elie Cester, 2ème ligne du T.O.E.C., puis de Valence, et de l’équipe de France. Connu pour sa vaillance.
N° 137 : février (A) 1973.
de g à dr : Cester (avec le ballon), Clark, Mc Evan, Wright, Vaquerin, Estève
N° 138 : février (B) – mars (A) 1973.
debout, de g à dr : Bénésis, Iraçabal, Azarète, Biémouret, Saisset, Cester, Estève. assis, sur banc, de g à dr : Bertanne, Dourthe, Walter Spanghero (capitaine), Cantoni, Lux, Campaès. assis, au sol, de g à dr : Barrau, Romeu.
N° 139 : mars (B) 1973.
W.Spanghero et Bastiat encadrent l’Anglais Ripley.
Dans ce numéro 139 un article sur Eric August.
Formé à Saint-Denis (au S.D.U.S., club de la banlieue parisienne officiant en 3ème division) le 2ème ligne Eric August fut vite remarqué par les dirigeants du Racing qui le mirent à l’étrier pour intégrer le XV de France B. August terminera plus tard sa carrière à l’U.S.Dax. de g à dr : Haden, Ordioni (1, Lambert, Kirkpatrick, Boffelli. Anecdote : pendant un certain temps ils furent 5 frères August jouant la même année au SDUS, en juniors ou seniors (Patrick, Gérald, Eric, Freddy, Thierry). Remarque : les fils d’Eric August feront aussi carrière au rugby, en divers clubs après Dax. En particulier Benoît qui instrumenta au Stade Français et à Biarritz, clubs avec lesquels il remportera le championnat de France, au poste de talonneur.
N° 140 : avril 1973.
Ballon en main, Biémouret face aux Gallois Taylor (riche 3ème ligne) et Edwards (à terre David).
N° 141 : mai 1973.
Deux personnages qui marquèrent leur époque. Jo Maso (Perpignan puis Narbonne), trois-quart centre mythique, digne successeur des frères Boniface, souvent associé au Béglais Jean Trillo. Walter Spanghero (Narbonne) 2ème ligne ou 3ème ligne centre, souvent associé à son frère Claude ou à Benoît Dauga ou à Elie Cester.
N° 142 : juin 1973.
de g à dr : Biescas, Verdier, Hoursiangou, Vinsonneau, Bastiat, Senac, Cabar. Au premier plan le demi-de-mêlée Save.
debout, de g à dr : Gérard Fournier (ex PUC) entraîneur, A.Marin, Abadie, Verdier, Leblanc, Cabar, Paul, Biescas, Senac. accroupis, de g à dr : Montagné, Pecune (qui passera à XIII), Save, Michel, Marty, F.Marin, Sillières.
N° 143 : juillet-août 1973.
N° 144 : octobre 1973.
N° 145 : novembre 1973.
Les deux demis-de-mêlée : Max Barrau et Imazato.
N° 146 : décembre 1973.
Saisset : 3ème ligne aile ou centre de Béziers et de l’équipe de France.
France B – Allemagne. Encore un clin d’œil à Eric August, trop tôt disparu, avec qui j’eus la chance de porter les couleurs du Saint-Denis-Unions-Sports (mais pas dans la même équipe, l’un de nous deux étant d’un niveau nettement supérieur). de g à dr : August, Francis Haget (qui porta longtemps le blason du XV de France A), Berrouet (9).
N° 147 : janvier 1974.
Claude Spanghero, avec le ballon, et Jo Maso face à un Graulhetois.
N° 148 : février 1974.
de g à dr : Mac Loughlin, Cester, Claude Spanghero, Keane, Estève.
Le XV de France vainqueur de l’Irlande le 19 janvier 1974. debout, de g à dr : l’arbitre, Mr Hosie (Ecosse), Bénésis, Iraçabal, Azarète, Saisset, Boffelli, Cester, Claude Spanghero, Estève. assis sur le banc, de g à dr : Bertranne, Dourthe, Aguirre, Lux, Dubertrand. assis, sur le sol : Barrau et Berot.
N° 149 : mars (A) 1974.
de g à dr : Gérald Davies, Finlayson, Gareth Edwards et Jean-Pierre Lux (Tyrosse) ballon en main pour signer l’essai du match.
N° 150 : mars (B) – avril 1974.
Jean-Pierre Romeu, demi d’ouverture de l’équipe de France (Carmaux puis Montferrand). Il appartiendra à la formation qui emporta le grand chelem en 1977 (4 victoires contre les équipes britanniques). Ce fut un redoutable butteur.
Après les trois premières parties (entre les N° 1 et 90) voici la quatrième partie pour les numéros 91 à 120.
N° 91 : mars 1969.
Dauga à la lutte en touche avec Horton (4) et Larter. De face Hauser. Cester (4), Swierczinski (2), Esponda (3), Plantefol.
N° 92 : avril 1969.
Biemouret avec le ballon et Claude Spanghero. Les Gallois Morris et M.Davies
N° 93 : mai 1969.
de g à dr : Quilis, Viard, Walter Spanghero, Claude Spanghero, Jean-Marie Spanghero, Bénésis.
Dans ce numéro 93 un article sur l’équipe béarnaise de Monein.
Pour mes nombreux (?) lecteurs moneinchons, je transmets cet article.
N° 94 : juin 1969.
Bègles : debout, de g à dr : Alban Moga, Violin, Swierczinski, Pedemay, Lafourcade, Boucherie, Traissac, Chagnaud, Dubois. accroupis, de g à dr : Ruaud, Trillo, Morlaès, Crampagne, Gesta-Lavit, Malterre, Lamouliatte, Jameau. Stade Toulousain : debout, de g à dr : Labatut, Guiter, Brousse, Moussard, Morel, Duvignac, Billières, accroupis, de g à dr : Paul Blanc, Bourgarel, Barsalou, Bérot, Larnaudie, Villepreux, Puig, Jean-Marie et Elie Bonal.
N° 95 :juillet 1969.
debout, de g à dr : Morlaès et, tenant le Bouclier de Brennus, Pédemay et Boucherie. accroupis, de g à, dr : Lamouliatte, Crampagne, Swierczinski.
N° 96 : septembre 1969.
N° 97 : octobre 1969.
de g à dr : Jean-Marie et Claude Spanghero, Quilis, Bessieux, Sutra et l’Agenais Plantefol
N° 98 : novembre 1969.
Dans ce numéro 98 un court portrait et photo de Jean-PaulBasly, trois-quart centre de la Section Paloise, rencontré ces dernières années en plusieurs occasions lors de manifestations culturelles.
N° 99 : décembre (A) 1969.
de g à dr : Stavitski, Viard, Billière, Morritt avec le ballon
N° 100 : décembre (B) 1969 – janvier (A) 1970.
N° 101 : janvier (B) 1970.
Quand l’apartheid régnait en maître en Afrique du Sud la fédération française de rugby, dirigée par Albert Ferrasse, choisit Raymond Bourgarel parmi les joueurs en partance pour une tournée chez les Springboks. Cette décision de sélectionner un joueur de couleur, pour visiter un pays où les Noirs Afrikanders étaient tenus à l’écart, ne fit pas l’unanimité, pas seulement dans le monde de l’ovale, et donna lieu à d’âpres discussions.
N° 102 : février 1970.
Paul Biémouret (Agen) face à Kennedy (2) et Besnihan
N° 103 : mars 1970.
N° 104 : avril (A) 1970.
debout, de g à dr : Bénésis, Iraçabal, Azarète, Carrère, Biémouret, Cester, Dauga, Bastiat. accroupis, de g à dr : Bourgarel, A.Marot, Pariès, Villepreux, Sutra, Lux, Sillières.
N° 105 : avril (B) – mai (A) 1970.
de g à dr : Llewelyn, D.Thomas qui saute, Azarète, Cester (5), Bastiat, Iraçabal, M.Davies, Dauga, Carrère.
N° 106 : mai (B) 1970.
de g à dr : Le Droff, Lasserre, Villepreux ballon en main, Cester, Iraçabal, Bénésis, Biémouret, Carrère.
N° 107 : juin 1970.
Guy Darbas (Montferrand) et Guy Camberabero (La Voulte)
Photos des deux finalistes :
A.S.Montferrand: debout, de g à dr : Rougerie, Perrin, Thomas, Pujol, Lasserre, Boisson, Bourdillon, Combeuil. accroupis, de g à dr : Coudeyre, Cieply, Pineau, Prat, Darbas, Jeammes, Desvernois. La Voulte Sportif : debout, de g à dr : Laréal, Digonnet, Cance, Noble, Duboué, De Grégorio, Faillon, Savitsky. accroupis, de g à dr : Julien (soigneur), L.Vialar, Roux, Guy Camberabero, Wusek, Lilian Camberabero, R.Vialar, Degueurce, Liénard (entraîneur).
N° 108 : juillet 1970.
Lilian Camberabero et Benoît Dauga face à 2 Irlandais.
N° 109 : octobre 1970.
A gauche Romeu (ex Carmaux) 1/2 d’ouverture, à droite Pebeyre (ex Brive), 1/2 de mêlée.
N° 110 : novembre 1970.
Troisième ligne de Toulon et futur entraîneur du club puis du P.U.C.
N° 111 : décembre 1970.
de g à dr : Walter Spanghero, Dauga, Le Droff, Quilis, Claude Spanghero.
N° 112 : janvier (A) 1971.
de g à dr : Lilian Camberabero, Sitjar, Carrère, Walter Spanghero, Dauga, Gruarin, Cabanier (2) Lux ?
Avant un succès retentissant face au XV d’Angleterre. debout, de g à dr : Bénésis, Iraçabal, Carrère, Biémouret, Lasserre, Cester, Le Droff, Dauga. accroupis, de g à dr : Bourgarel, Lux, Bérot, Villepreux, Pebeyre, Trillo, Bonal.
N° 113 : janvier (B) 1971.
de g à dr : Max Barrau, Villepreux, Trillo.
N° 114 : février 1971.
de g à dr : Pebeyre (9), Dauga, Viard, Mac Bride, Bénésis, Le Droff.
N° 115 : mars 1971.
Trois-quart aile de Béziers et de l’équipe de France, plusieurs fois champion de France. Son père fut international de Jeu à XIII.
Gareth Edwards, demi-de-mêlée légendaire, considéré par certains comme un des meilleurs joueurs de tous les temps. Il est ici flanqué de Delme Thomas et, en pare oreilles, de Mervyn Davies sous l’œil de Benoît Dauga.
N° 116 : avril 1971.
Walter Spanghero « étranglé » par un Gallois. De nos jours cela friserait le carton jaune.
N° 117 : mai 1971.
On reconnaît Villepreux, ballon en main, et Maso. Les autres Français invités étaient Carrère, Cester et Bertranne.
N° 118 : juin 1971.
de g à dr : Vadella, Hortoland, Buonomo, Estève, Sénal.
Béziers l’emporte mais … Toulon termine à 14 après l’élimination de son capitaine André Herrero suite à un coup de pied dans les reins dont l’auteur ne fut jamais découvert ( … sauf à Béziers).
A gauche : Béziers. debout, de g à dr : Martin, Pesteil, Lubrano, Hortoland, Vaquerin, Saisset, Buonomo, Senal, Estève. accroupis, dr g à dr : Lavagne, Navarro, Cantoni, Astre, Cabrol, Sarda, Séguier. A droite : Toulon. debout, de g à dr : Vadella, Gruarin, Ballatore, Carrère, Daniel Herrero, André Herrero, Hache, Sappa. accroupis, de g à dr : Fabien, Carreras, Bos, Labouré, Irastorza, Delaigue, Giabbiconi.
N° 119 : juillet 1971.
Claude Spanghero en touche face aux Springboks.
Pose pour la postérité devant l’Arc de Triomphe du Carrousel : 27 joueurs et 3 dirigeants. Max Barrau éliminé dès le premier match il fallut appeler Pierre Pardiès pour le remplacer. 1er rang, de g à dr : Jean Iraçabal, Christian Swierczinski, Alain Marot, Michel Pebeyre, Roland Bertranne, Jean-Louis Bérot, Jacques Cantoni, Roger Bourgarel, Max Barrau. 2ème rang, de g à dr : Michel Yachvili, Joseph Maso, Jean Sillières, Christian Carrère, Michel Celaya, Elie Pebeyre, Fernand Cazenave, Jean Trillo, Claude Dourthe, Pierre Villepreux, Marc Etcheverry. 3ème rang, de g à dr : Jean-Louis Azarète, Michel Lasserre, Benoît Dauga, Jean-Pierre Bastiat, Alain Estève, Claude Spanghero, Jean LeDroff, Jean-Claude Skrela, Walter Spanghero, Alain Biémouret.
N° 120 : août-septembre 1971.
Au premier plan Benoît Dauga, longtemps recordman des sélections, après Michel Crauste. On aperçoit aussi le crâne d’un autre haut Landais, Jean-Pierre Bastiat.
La première partie était consacrée aux numéros 1 à 30, la seconde aux numéros 31 à 60. La troisième concerne les numéros 61 à 90 (octobre 1966 à février 1969).
N° 61 : octobre 1966.
On peut reconnaître, de gauche à droite, W.Spanghero, Cabanier, Fort, Condom, Dauga, Carrère. Poster : Jacques Fort.
N° 62 : novembre 1966.
J.C.Lasserre 1/2 de mêlée international, associé, à Dax, avec le 1/2 d’ouverture Pierre Albaladejo.
Poster : Christian Carrère (Tarbes puis Toulon, Capitaine du XV de France)
N° 63 : décembre 1966.
de g à dr : Dauga et Darrouy (Mont-de-Marsan), Dourthe (Dax) Poster : Bernard Duprat (Bayonne)
N° 64 : janvier (A) 1967.
de g à dr : Christian Carrère (Tarbes puis Toulon), André Herrero (Toulon puis Nice), Jo Maso (Perpignan puis Narbonne) Poster : Claude Lacaze (Lourdes puis Angoulême puis Nice)
Dans ce numéro 64, les compliments du Directeur de Miroir Sprint, Maurice Vidal, pour le Directeur du Miroir du Rugby, Robert Barran, lauréat du IXème Grand Prix Martini du meilleur article sportif de l’année : comment l’on vient au rugby. Cet article parut dans le MR N° 57 d’avril 1966.
Ci-après l’article de Robert Barran et le coup de chapeau de Maurice Vidal.
N° 65 : janvier (B) 1967.
de g à dr : Gachassin, Piqué, W.Spanghero qui saluent l’essai de Gruarin. A droite le demi-de-mêlée Laidlaw. Boyle n° 8 et Mac Donald n°1 Poster : Jean-Pierre Salut (T.O.E.C.)
N° 66 : février 1967.
de g à dr : Boyce, Catchpole, Johnson, Cabanier, Gruarin, Dauga avec le ballon, Berejnoï, Spanghero, Herrero, Carrère, Sitjar. Poster : Jean-Claude Berejnoï (Tulle)
N° 67 : mars 1967.
de g à dr : Sitjar, Carrère, Spanghero, Dauga et le ballon (comme d’hab’), Gruarin, Cabanier, Duprat. Poster : Michel Cabanier (Montauban)
N° 68 : avril 1967.
de g à dr : Gareth Edwards, Lilian Camberabero, Gruarin, Dauga. Poster : Jean-Louis Dehez (Agen)
N° 69 : mai (A) 1967. Irlande-France de g à dr : Mac Bride, Herrero, Hutton, Carrère, Dauga, Murphy et Goodall au sol Poster : Lilian et Guy Camberabero (Saint-Vincent-de-Tyrosse puis La Voulte)
N° 70 : mai (B) 1967.
Bègles : debout, de g à dr : Dubois, Caron, L.Denjean, Boucherie, Discazeaux, Semont, Savio, Swierczinski.
accroupis, de g àdr : Cazaban, Milani, Soleil, Crampagne, Morlaès, Trillo, Bergèze. Montauban : debout, de g à dr : Carrié, David, Bourgade, Delcros, Cardebat, Cabanier, Blanc, Marquesuzaa. accroupis, de g à dr : Piazza, Sahuc, Maurières, Daynes, Sirac, Malavelle, Londios.
Poster : Claude Dourthe (Dax)
N° 71 : juin 1967.
de dos : Blanc, Cabanier (n°2), Londios. Au fond : Delcros. A la lutte pour le ballon : Caron (n°4) face à Carrié. Poster : Gérard Viard (Narbonne)
N° 72 : juillet 1967.
debout de g à dr : Cabanier, W.Spanghero, Duprat accroupis : Guy Camberabero, Darrouy (capitaine)
N° 73 : août/septembre 1967.
debout, de g à dr : Dauga, Plantefol, Spanghero, Fort, Lasserre, Carrère, Abadie, Cabanier. accroupis, de g à dr : Duprat, Dourthe, C.Lacaze, G.Camberabero,, Puget, Trillo, Londios.
Poster : Jo Maso (USAP puis Narbonne)
N° 74 : octobre 1967.
de g à dr : De Vaal, Carrère, Ellis, Guy Camberabero, Trillo Poster : Marcel Puget (Toulouse puis Brive)
N° 75 : novembre 1967.
Le demi d’ouverture Herewini dirige le Haka Poster : Jean Trillo (Bègles)
Ce numéro 75 contient un article sur Oloron (F.C.O.). Je ne pouvais pas le laisser passer.
N° 76 : décembre 1967.
de g à dr : Gray, Gruarin,Cabanier, Dauga, Spanghero, Plantefol ; Meads et Straham cachés. Poster : Pierre Villepreux (Stade Toulousain)
Dans ce numéro 76 un article sur le poète Pierre Mac Orlan lecteur du MR et ami de notre connaissance montmartroise graveur/peintre Henri Landier.
N° 77 : janvier 1968.
Dauga et Carrère. Poster : Alain Plantefol.
N° 78 : février 1968.
de g à dr : Trillo, Duggan, Villepreux, Campaès Poster : André Abadie (Graulhet)
Dans ce numéro 78 le MR rend hommage aux deux Internationaux disparus à l’aube de 1968, lors de deux accidents de voiture différents Guy Boniface et Jean-Michel Capendeguy.
N° 79 : mars 1968.
de g à dr : Lilian Camberabero, Salut, Carrère, Spanghero Poster : Elie Cester (TOEC)
N° 80 : avril 1968.
Avant d’affronter le Pays-de-Galles (14-9), dernière victoire du Grand Chelem. debout, de g à dr : Greffe, Noble, Lasserre, Spanghero, Cester, Plantefol. assis, 2ème rang, de g à dr : Bonal, Dourthe, Carrère (capitaine), Maso, Campaès. assis, 1er rang, de g à dr : Yachvili, Guy Camberabero, Lilian Camberabero, Cl.maude Lacaze.
Poster : André Campaès (Lourdes)
N° 81 : mai 1968.
de g à dr : autour du demi-de-mêlée Maurières avec le ballon, les autres Montalbanais Cabanier, Carrié, Ucickowski, Cardebat, David, Bourgade, Delcros. Poster : Michel Lasserre (Agen)
Pas de parution du Miroir du Rugby en juin 1968
N° 82 : juillet (A) 1968.
debout, de g à dr : Massebœuf, Doumecq, Cazenave, Crauste, Hauser, Dunet, Trucoo, Bourdettes. accroupis, de g à dr : Latanne, Halçarren, Gachassin, Fourcade, Mir, Arnaudet, Campaès.
Poster : les 3 frères Spanghero Jean-Marie, Walter, Laurent.
La finale oppose Lourdes à Toulon, décalée en juin suite aux « événements » de mai 68. Elle se poursuit jusqu’aux prolongations, ce qui constitue en soi une circonstance exceptionnelle. Comme la saison a déjà duré trop longtemps il n’est pas question de refaire jouer ce match. Le titre est alors attribué à Lourdes au bénéfice des essais.
De nombreuses années plus tard je crapahutais en montagne avec le pilier lourdais de ce fameux match, Pierre Doumecq, qui vivait en vallée d’Aspe à Accous et transhumait avec mes deux beaux-frères Henri et Roger (leurs troupeaux de brebis partageaient les mêmes estives). Il me confia que lors des prolongations citées plus haut ils étaient tous tellement fatigués qu’ils s’étaient entendus, lui et le pilier toulonnais en face de lui, de juste se poser en mêlées, sans donc pousser ou disputer celles ci. Son adversaire du jour s’appelait … Aldo Gruarin, pilier de l’équipe de France, rien que çà !
N° 83 : juillet (B) 1968.
de g à dr : Gachassin, Trucoo, Halçarren, Cazenave, Massebœuf, Hauser et Campaès avec le ballon
N° 84 : septembre 1968.
de g à dr : Cester, Yachvili, Mac Leod, Billère, Spanghero, Going protégé par Tremain Poster : Trois Toulonnais de l’équipe de France : Gruarin, Carrère, Herrero
N° 85 : octobre 1968.
Stade de Auckland
N° 86 : novembre (A) 1968.
Richard Astre (Béziers) dispute le ballon à Marcel Puget (Brive) Poster : Jean Iraçabal (Aviron Bayonnais)
N° 87 : novembre (B) 1968.
de g à dr : Spanghero, Ellis, Dauga, Du Preez, Lasserre, Marais. de dos Puget (n° 9)
N° 88 : décembre 1968.
Jean-Marie Bonal (Toulouse) à l’attaque
N° 89 : janvier 1969.
de g à dr : Lasserre, Arneil, Bérot avec le ballon, Dauga, Iraçabal, Mac Harg, Yachvili, Cester.
N° 90 : février 1969.
de g à dr : Salut, Iraçabal, Kennedy en dribling, Carrère, Dauga
Dans ce numéro 90, une mise en garde du Miroir du Ruby par rapport au plagiat du Miroir des Sports.
La première partie concernait les aventures de Tintin dans les 12 premiers albums d’Hergé. Cette seconde partie s’intéresse aux albums numérotés de 13 à 24.
N° 13 : Les 7 boules de cristal.
Les 7 boules de cristal : parution en septembre 1948. Hergé s’est représenté page 6 parmi les spectateurs de la représentation au music-hall.
N° 14 : Le Temple du Soleil.
Le Temple du Soleil : parution en septembre 1949.
N° 15 : Tintin au pays de l’Or Noir.
Tintin au pays de l’Or Noir : parution en décembre 1950.
Hergé dut apporter quelques modifications à sa première version car elle faisait trop référence au conflit israélo-palestinien.
N° 16 : Objectif Lune.
Objectif Lune : parution en septembre 1953.
N° 17 : On a marché sur la Lune.
On a marché sur la Lune : parution en août 1954.
N° 18 : L’Affaire Tournesol.
L’Affaire Tournesol : parution en octobre 1956.
Pour la première fois apparaît l’affabulateur Séraphin Lampion. Parmi les badauds installés devant la grille du château on peut reconnaître Hergé.
N° 19 : Coke en Stock.
Coke en Stock : parution en juillet 1958.
N° 20 : Tintin au Tibet.
Tintin au Tibet : parution en janvier 1960.
Cet album fut paraît-il le plus populaire de la collection.
N° 21 : Les bijoux de la Castafiore.
Les bijoux de la Castafiore : parution en janvier 1963.
La première partie du Miroir du Rugby concernait les numéros 1 à 30. Cette seconde partie intéresse les numéros 31 à 60 (décembre1963à juillet 1966). Elle sera plus légère puisque ne figurent pas cette fois les sommaires de chaque numéro.
N° 31 : décembre 1963.
Poster : André Herrero (Toulon)
N° 32 : janvier 1964.
de gauche à droite : Gachassin, Dauga, Bayardon, Laborde, Domenech, Dupuy (ballon en main), Herrero Poster : Francesco Zani (Italie/Agen)
N° 33 : février 1964.
Poster : Michel Crauste (Lourdes)
N° 34 : mars 1964.
de g à dr : Graham, Tremain, Yates, X, Meads, Y, Lochore, Dauga, Bayardon (Fabre et Piqué au fond, entre X et Meads Poster : Jean-Claude Lasserre (Dax)
A suivre, le XV de France qui joua les Blacks.
debout, de g à dr : De Grégorio, Amestoy, Bayardon, Crauste, Fabre (capitaine), Herrero, Le Droff, Dauga. accroupis, de g à dr : Gachassin, Piqué, Lasserre, C.Lacaze, Albaladejo, A.Boniface, Darrouy
N° 35 : avril 1964.
de g à dr : De Grégorio, Bouguyon, Prosser, Evans, Price … Poster : Jean Dupuy (Tarbes)
N° 36 : mai 1964.
de g à dr : Gwynn Walters (arbitre), Berejnoi, Abadie, Dauga, Lira, Herrero, Mac Bride … Poster : Benoît Dauga (Mont-de-Marsan)
N° 37 : juin (1) 1964.
Béziers : debout, de g à dr : Bolzan, Malet, Ribot, Gensane, Arnal, Salas, Gagnaire, Vidal. accroupis, de g à dr : Grau, Fratangelle, Dedieu, Danos, Bernatas, Barrière, Bousquet. Pau : debout, de g à dr : Abadie, Etcheverry, Ruiz, Doumecq, Saux, Moncla, Vignette, Michou. accroupis, de g à dr : Lhandes, Rouch, Duluc, Totos, Capdouze, Piqué,Clavé.
N° 38 : juin (2) 1964.
de g à dr : Moncla, Fratangelle (?), Ruiz, Etcheverry, Doumecq, Abadie, Vidal, Bolzan
N° 39 : juillet 1964.
Poster : Paul Dedieu (Béziers)
N° 40 : septembre 1964.
Poster : Marc Etcheverry (Pau)
N° 41 : octobre 1964.
Poster : Jean Gachassin (Lourdes puis Bagnères)
N° 42 : novembre 1964.
Boisson (Montferrand) face au Fidjien Cavu Poster : Aldo Gruarin (Toulon)
N° 43 : décembre 1964.
Poster : Pierre Darbos (Dax puis Narbonne)
N° 44 : janvier 1965.
de g à dr : Maurières, Cabanier, Blanc,Fontanié, Zago, Marquesuzaa, Romero, Zarazola et les Pucistes Martin et Tardivel Poster : Michel Arnaudet (Lourdes)
N° 45 : février 1965.
de g à dr : Herrero, Crauste, Guy Boniface, Piqué, Gruarin, face aux Écossais. Poster : Pierre Lacaze (Lourdes puis Toulouse XIII)
N° 46 : mars 1965.
Poster : Jean Piqué (Section Paloise)
N° 47 : avril 1965.
A gauche Haydn Morgan Poster : Jean-Michel Capendeguy (Saint-Jean-de-Lutz puis Toulon)
Je rajoute quelques commentaires sur ce match un peu plus loin.
Triste parenthèse : dans ce numéro 47 sont mis en valeur deux internationaux, Guy Boniface en couverture et Jean-Michel Capendeguy en poster. Ces deux garçons trouveront la mort lors de deux accidents de voiture distincts à l’aube de l’année 1968. Le Miroir du Rugby leur rendra hommage, comme nous le verrons dans le numéro 78.
N° 48 : mai 1965.
Poster : Sitjar (Agen)
N° 49 : juin 1965.
Agen : debout, de g à dr : Malbet, Lagiewski, Palladin, Sijar, Viotto, Lasserre, Fort, Zani. accroupis, de g à dr : Soula, Gruppi, Hiquet, Dehez, Lacroix, Razat, Pomiès. Brive : debout, de g à dr : Marsaud, Bessot, Freyssinet, Burguet, Sarrant, Lewin, Delfour, Normand. accroupis, de g à dr : P.Besson, Marot, Roques, Villepreux, Puget, C.Besson, Castiglioni.
Poster : le XV de France vainqueur du Pays de Galles (ci-dessous)
J’eus la chance (et la jouissance) d’assister, au stade Yves du-Manoir de Colombes, à ce match mémorable aux multiples actions d’éclat lors duquel avants et trois-quarts se croisaient en un ballet incessant féérique et auquel participaient mes idoles de l’époque. Match entré dans les annales et souvent cité en référence du rugby total et victorieux.
Deux anecdotes liées à ce match. * L’arbitre officiel se blessa en cours de rencontre (vers la fin de la 1ère mi-temps je crois). Il fut remplacé par le Français André Marie, qui tenait un des drapeaux de touche, qu’on aperçoit sur la photo debout à l’extrême gauche (extrême gauche ? position étonnante quand on sait que ce citoyen futur Maire de Biarritz épousait les idées droitières de la République gaulliste et que sa fille fut longtemps Ministre sous Chirac sous le nom de Michèle Alliot-Marie). En tout cas ce fut la première fois qu’un arbitre Français officiait lors du Tournoi des Cinq Nations, et qui plus est, devant ses compatriotes. ** En 1973 je me trouvais à Montréal (celui du Québec, pas celui du Gers) et assistais à une confrontation entre le Pays de Galles et le Canada. A la réception d’après match je discutais avec l’entraîneur chef des Gallois : Clive Rowlands qui n’était autre que le demi-de- mêlée du XV de Galles de … 1965. Nous évoquâmes bien sûr le fabuleux match évoqué un peu plus haut.
N° 50 : juillet 1965.
de g à dr : Sitjar, Zani, Razat, Darbos, Albaladejo Poster : l’équipe championne de France 1965 : Agen
N° 51 : octobre 1965.
de g à dr : Walter, Jean-Marie et Laurent
Et il manque Claude (futur international) et Guy ! Poster : Jean-Claude Roques (Brive)
N° 52 : novembre 1965.
Poster : Lacroix et sa 3ème ligne d’Agen Sitjar, Viotto, Zani
N° 53 : décembre 1965.
Poster : le Bataillon de Joinville, avec ses entraîneurs dont Robert Poulain
N° 54 : janvier 1966.
de g à dr : Berejnoi, Fort, Cabanier, Crauste, Dauga, Salut, Sitjar.
A l’intérieur, un conte de Robert Barran illustré par Pellos. Poster : André Boniface et Michel Crauste
N° 55 : février 1966.
de g à dr : Puget, Berejnoi, André Boniface, Dauga, Gruarin, Creauste, Darrouy qui marque l’essai (n° 1 des marqueurs d’essais à l’époque) et 3 Irlandais Poster : Jean Fabre (Stade Toulousain)
N° 56 : mars 1966.
Poster : Marcel Bescos (Albi XIII et Capitaine de l’équipe de France)
N° 57 : avril 1966.
de g à dr : Rupert, Crauste, Herrero, Berejnoi, Dauga, Cabanier, et à gauche Norris et Pask Poster : Jean Gachassin (Lourdes) et Jean-Claude Roques (Brive)
N° 58 : mai 1966.
Jo Maso avec le ballon, et Lagrange Poster : Walter Spanghero
N° 59 : juin 1966.
de g à dr : Fort, Labadie, Darbos, Zani Poster : Albaladejo et Capdepuy (Dax)
N° 60 : juillet 1966.
Avant d’affronter le Pays-de-Galles à Cardiff debout :W.Spanghero, Herrero, Rupert, Berejnoi, Gruarin, Cabanier. assis : Dauga, C.Lacaze, Crauste (capitaine), A.Boniface, Darrouy accroupis : G.Boniface, Gachassin, L.Camberabero, Duprat
Je dispose de tous les albums des aventures de Tintin, regroupés en un seul volume : 23 édités entre les années 1930 et 1976, unnon édité, élaboré mais non terminé en 1986.
A chaque fois je fais apparaître 2 clichés par album : celui de la couverture et celui de la page de présentation. Soit 48 photos. Pour alléger la lecture je divise la description en 2 parties : des albums 1 à 12 (c’est cette première partie) et des albums 13 à 24 (ce sera l’objet de la deuxième partie).
Le concepteur, reconnu dans le monde entier est le Belge Georges Rémi dit Hergé (1907 – 1983).
Les 24 couvertures se regroupent dans le cliché suivant :
Au début, quelques informations concernant l’auteur et son évolution idéologique au cours du temps, ainsi que des modifications qui en résultèrent pour quelques histoires. Je tire ces données d’Internet sans avoir pu toutes les vérifier.
Les 9 premiers albums furent dans un premier temps imprimés en noir et blanc, puis colorés, avec parfois quelques changements, comme nous le verrons au fur et à mesure. Les 3 premiers furent publiés aux éditions du Petit Vingtièmeà Bruxelles, et les 21 suivants chez Casterman à Tournai. Les albums de Tintin parurent dans 50 langues officielles et 43 langues dites régionales, dont l’Occitan en 1979 et le Basque en 1972.
Les modifications concernent l’Île Noire (n° 7), l’Étoile Mystérieuse (n° 10), et Tintin au pays de l’Or noir (n°15) œuvres dans lesquelles on était loin de la neutralité politique attendue. On ne revient pas ici sur les clichés et caricatures qui jalonnent surtout les premiers albums du tout jeune dessinateur. Hergé lui-même apparaît en certaines occasions, comme nous le signalerons à chaque fois. Il est grand, efflanqué, avec une tignasse blonde importante, les joues creusées, le visage étroit et long. Il ne joue pas un rôle particulier, c’est un simple figurant mélangé aux acteurs ou spectateurs.
1/Tintin au pays des Soviets.
Tintin au Pays des Soviets : parution en septembre 1930
2/ Tintin au Congo.
Tintin au Congo : parution en juillet 1931
Hergé se représente lui-même dès la première page au milieu d’un groupe de journalistes accompagnant Tintin à son départ pour l’Afrique. On aperçoit aussi Dupond et Dupont à l’écart de ce groupe mais sans intervenir par la suite dans cet épisode.
3/Tintin en Amérique.
Tintin en Amérique : parution en novembre 1932
4/Les cigares du pharaon.
Les cigares du pharaon : parution en octobre 1934.
Dans cet album apparaissent pour la première fois des personnages-acteurs que l’on retrouvera souvent par la suite : les détectives Dupond et Dupont, et l’intriguant Rastapopoulos.
5/Le Lotus bleu.
Le Lotus bleu : parution en septembre 1936.
Dans cet album apparaît pour la première fois le jeune Tchang.
6/L’oreille cassée.
L’oreille cassée : parution en novembre 1937.
Cet album marque la première apparition du GénéralAlcazar.
7/L’Île Noire.
L’Île Noire : parution en novembre 1938.
Cette histoire nécessita 3 versions successives.
8/Le Sceptre d’Ottokar.
Le Sceptre d’Ottokar : parution en août 1939.
Première apparition de la Castafiore. Hergé s’invite page 38 parmi les invités du Concert dans le Palais royal et page 59 au milieu des invités de la cérémonie de décoration de Tintin.
9/Le crabe aux pinces d’or.
Le crabe aux pinces d’or : parution en novembre 1941.
Première apparition du Capitaine Haddock.
10/L’Étoile mystérieuse.
L’Étoile mystérieuse : parution en décembre 1942.
Cet épisode subit quelques modifications car sa première version, éditée en plein conflit de la Seconde Guerre Mondiale, put être interprétée par certains comme un soutien à l’Axe Berlin-Rome, voire à une œuvre de propagande en sa faveur. La deuxième édition s’avéra politiquement plus neutre.
11/Le Secret de la Licorne.
Le Secret de la Licorne : parution en octobre 1943.
En cet album apparait pour la première fois Nestor.
12/Le trésor de Rackham le Rouge.
Le Trésor de Rackham le Rouge : parution en novembre 1944.
Dans cet album apparaît pour la première fois le Professeur Tournesol (Triphon)
De février 1961 à décembre 1976 les Editions Miroir Sprint ont édité 180 numéros du Miroir du Rugby, noté MR par la suite, publication mensuelle, sauf (en général) en juillet et août, mais avec parfois 2 numéros dans le même mois (selon l’activité rugbystique du moment). Je possède la collection complète entre les numéros 1 et 180 mais je ne dispose pas des numéros suivants, hormis le 204.
Dans ce blog je regroupe toutes les couvertures des MR, en plusieurs articles successifs (6) : 30 numéros par partie soit 6 x 30 = 180.
Figurent, outre le numéro de l’édition, sa date de parution, la photo de sa couverture, la légende l’accompagnant, le titre de l’éditorial de Robert Barran, le sommaire du jour et parfois le poster du mois.
A cette époque 2 organes de presse sportive se « concurrencent » :
*l’Equipe (quotidien) et Miroir Sprint (hebdomadaire). Cependant que Midi Olympique est l’hebdomadaire du Rugby (à XV comme à XIII, mais aussi le spécialiste national de la Tauromachie). L’Equipe appartient au même groupe que le Parisien Libéré. Son directeur, Jacques Goddet, et quelques journalistes influents, véhiculaient des idées plutôt conformistes. Mais en son sein j’adorais les articles de rugby de Denis Lalanne, Henri Garcia, Robert Roy … Ils prônaient tous un rugby joyeux, dit d’attaque et d’initiatives, qui à l’époque séduisait même les non initiés et … embarrassait les Britanniques lors du Tournoi des 5 Nations. Leurs préférences très connues s’articulaient autour de grandes équipes et des joueurs magiques comme le FC Lourdes et les frères Prat ou le Stade Montois et les frères Boniface. Denis Lalanne écrivit en 1958 « le Grand Combat du XV de France » qui retraçait l’épopée de l’équipe du Capitaine Lucien Mias en Afrique du Sud (1 match nul et une victoire
devant les monstres Springboks), un ouvrage devenu référence.
* A la direction de Miroir Sprint on trouvait Maurice Vidal et à celle du Miroir du Rugby Robert Barran(natif d’Arudy). Ces deux revues, plus polémistes, dans la mouvance du Parti Communiste Français. MR défend et promeut le rugby de base, celui des champs et des villes moyennes, pour simplifier, mais aussi le rugby de l’étranger, et pas seulement en Europe comme on va le voir dans le sommaire du N°1 ci-dessous.
Cette première partie balaie les numéros 1 à 30 (février 1961 à novembre 1963)
N° 1 : février 1961.
La première ligne et le Capitaine du XV de France.
de gauche à droite : Alfred Roques (Cahors) – Jean De Grégorio (Grenoble) – Amédée Domenech (Brive) – François Moncla (Racing CF puis Pau). Première ligne et Capitaine du XV de France.
Premier édito (résumé) de Robert BARRAN : » MR devient mensuel au moment de la venue des Springboks en France. Il décrit la vie des clubs, grands et petits, la mise en valeur, dans le collectif, d’individualités étonnantes, comme Gachassin, l’humour avec ses personnages truculents, l’évolution technique avec appel à des spécialistes qualifiés, le souci de renseigner et de lutter pour le véritable esprit, la correction, la droiture « .
Sommaire :
* nos clubs : l’U.S.Dacquoise (Robert barran)
* le bréviaire de Mias (Henri Gatineau)
* Jean Gachassin, cet étonnant gamin (Claude Parmentier)
* portraits : Christian Boujet (Grenoble) et Claude Vidal (Mazamet)
* l’épreuve de vérité de l’an unique (Robert Barran)
* qu’est-ce qu’un Springbok ? (Jean Denis)
* Springboks et All Blacks (photos)
* le Docteur Danie Craven maître à penser du rugby sud-africain
* édition britannique (Angleterre, Irlande, Ecosse, Galles)
* où en est le rugby en U.R.S.S. ? Jean Nau)
* les histoires d’Adolphe Jauréguy
* croisade pour le rugby éducatif (Julien Saby)
* évolution de la mêlée (Robert Poulain)
* le coin des treize : Boldini, les deux Lacaze, R.Perez (L.Tremellat)
N° 2 : mars 1961.
Trois-quart centre de Vienne et du XV de France.
Edito : Le bilan springbok
Sommaire :
* de Puget à Laudouar , une chaîne nouvelle (Robert Barran) * le bilan springbok (Robert Barran) *nos clubs : l’A.S.Béziers (Henri Gatineau) * Lacroix-Danos ou l’impossible choix Robert Barran)
* qui est Jacques Muntz ? * la désintégration du trio Sharp, Marques, Jeeps (John Reed)
* Mulligan (Irlande) et Haydn Mainwaring (Pays de Galles) * et le rugby aux U.S.A., mister Hopp ? (Dale E. Hopp) * faut-il brûler Jacky Bouquet ? (Jean Denis) * évolution de la touche (Robert Poulain)
* Roland Crancée discuté … sauf à Lourdes (Claude Parmentier)
*croisade pour le rugby éducatif (René Barnoud)
* portraits : Guy Burgas (R.Tounze), Emile Rebujent (André Galy), Francis Moulian (Claude Parmentier)
* Emile Lesueur, premier essai face aux Anglais 1906 (G.de Ferrier)
* Jacky Merquey, mon « pays » de Souillac (Roger Couderc)
N° 3 : avril 1961.
Edito : Quand le rugby français sert d’étalon Sommaire :
* Guy Basquet répond à nos questions
* nos clubs : le S.U.Agen (Robert Barran)
* Noël Baudry et l’arrière offensif (Robert Barran)
* édition britannique : Angleterre, Irlande, Galles, Ecosse (Jean Denis)
* l’histoire du rugby : René Lasserre (Gérard de Ferrier)
* le numéro huit (Julien Saby)
* Domenech et ses francs-tireurs brivistes (Claude Parmentier)
* Toulon aux bonnes leçons de Jean Carrère (Lino Durante)
* technique : évolution du jeu des lignes arrières (Robert Poulain)
* portraits : Daniel Camiade (André Galy), JeanRoos (André Abadie), Jean-Jacques Saby (J.Leal), Jean Ducousso Henri Gatineau)
* le rugby dans le Nord (René Deleplace)
* Boisson, le 2ème ligne de demain (Roger Tounze)
* les sept péchés capitaux du rugbyman (Deran : B.D.)
* école de rugby à Saint-Girons
* Barthe, Quaglio, Mantoulan (J.P.Dubenou)
N° 4 : mai 1961.
Demi-de-mêlée de Béziers et du XV de France.
Edito : De Dublin à Auckland et à Wellington Sommaire :
* à François Moncla (Robert Barran)
* le Rugby, sport-roi en Nouvelle-Zélande (Jean Denis)
* connaissance de la Nouvelle-Zélande
* trois générations d’arrières néo-zélandais : Népia, Bob Scott et Don Clarke
* tournoi et Springboks : cinq matches qui ébranlèrent le monde du rugby
* Raymond Barthez répond à nos questions
* Pierre Danos, le cerveau de Béziers (Robert Barran)
* Zani et Saetti, la belle deuxième ligne italienne (Claude Parmentier)
* Jean-Pierre Saux consacré en perdant du galon (André Abadie)
* le 7/8 par Julien Saby et le rôle de l’ailier par Robert Poulain
* Gérard Dufau, ce junior de 37 ans (Roger Couderc)
* Langon ou la vie d’un club de province (Gérard de Ferrier)
* essai sur le rugby français (Alban Sardin)
* les huit frères Williams (photo)
* portraits : Michel Cousinié de Mazamet (Henri Gatineau) et Gilbert Delpy de Vichy (Roger Tounze)
* Joseph Maso père et fils (André Galy)
* Roger Llanas le talonneur treiziste de l’année (E.Bouffil)
N° 5 : juin 1961
Trois-quart centres du Stade Montois et du XV de France.
Edito : Les gosses de Ramponneau et d’aileurs Sommaire :
* anatomie des 4 grands : Chambéry, Mont-de-Marsan, Béziers, Dax (Robert Barran)
* Guy Calvo, ce méconnu (Jérôme Roudé)
* la promotion 61 : St Junien, Lannemezan, Albi, Côte Vermeille (Henri Gatineau et André Galy)
* le style des demi-finalistes (Alban Sardin)
* les Boniface de Montfort-en -Chalosse (Jean Denis)
* le dribling est-il périmé ? (Robert Poulain et Henri Muntz)
* Grivitza de Bucarest, le « Lourdes roumain » (D.Callimachi)
* la truelle d’Alfredou (J.P.Dubenou)
* Flamme d’Oro, premier club d’Italie (Robert Poulain)
* c’est nous les cadets de Tyrosse (J.Fayet)
* Adole et La Rochelle, deux révélations (Jean Philibert)
* Serge Plantey, le voyageur sans escale (Claude Parmentier)
* rugby de mouvement (photos)
* lecteurs, à vous la parole
N° 6 : juillet 1961.
Edito : On proteste à La Teste Sommaire :
* cap sur la Nouvelle-Zélande (Robert Barran)
* qui est Bianco, pilier du F.C. Auch ? (Claude Parmentier)
* 30 essais pour les avants All Blacks en Afrique du Sud (Jean Denis)
* un avertissement de Dawson, capitaine des Lions, à Moncla, capitaine du XV de France (J.Mc Weeney)
* Colin Meads, meilleur avant du monde ?
* au pays des Maoris, de Rotorua à Napier
* Laudouar et Rollet, les « pêcheurs de balle » (Jean Denis)
* de Béziers à Mirande, tous nos champions de France : Béziers, Saint-Junien, Figeac, Castelsarrasin, Laloubère, Léon, Mirande, Racing C.F., T.O.E.C.
* les 689 points des juniors du T.O.E.C. (Henri Gatineau)
* l’histoire de Brennus et de son bouclier
* Lézignan, le fief treiziste des Corbières (J.P. Dubenou)
* le point technique de Julien Saby : redresser, oui, mais en brisant la ligne
* en guise de conclusions (Robert Poulain)
* le sens du Challenge Du Manoir
* qu’est-ce que le rugby à sept ? (John Reed)
* Salas préférait le titre
N° 7 : août 1961.
Edito : Abondance à Rotorua et … Lyon Sommaire : * le rugby commence au bout du monde (Roger Couderc)
* le journal des Antipodes :
I. à Nelson, Dupuy inaugure
II. les surprises de Taranaki
III. Waikoto, connaissance de Don Clarke
IV. Whangarei, couverts de boue et d’éloges
V. Roger Couderc vous commente le test d’Auckland
VI. Rotorua, véritable baie d’abondance
VII. Napier : au milieu du peuple Maori
* quand le coq ergote (Alban Sardin)
* les mutations : Domec, Laudouar, Momméjat et Martine
N° 8 : septembre 1961.
Demi-de-mêlée et capitaine du XV de France
Edito : Ce qui se conçoit bien … Sommaire : * Jean Piqué, la fusée de Wellington (J.P. Dubenou) * le journal des Antipodes (suite) :
VIII. Manawatu : Meynard blessé, Lefèvre éclatant IX. dans la tempête de Wellington avec Roger Couderc
* coïncidences
* Roland Lefèvre de Brive, dans l’ombre du Duc
X. Southland : André Boniface réhabilite l’attaque
XI. Otago : Serin et Guy Camberabero s’imposent
XII. l’amertume de Timaru pendant qu’André Boniface piaffait d’impatience
XIII. Le test de Christchurch : le glas d’une grande équipe
* un tournant pour Lacroix ? (Robert Barran)
* Un reportage exclusif : Don Clarke à la ferme
* la chronique de Robert Poulain : de l’intersaison à la reprise
N° 9 : octobre 1961.
3è ligne et capitaine du XV de France
Edito : Feuilles d’automne Sommaire : * Lourdes 61 : sous le signe de Crauste et … la houlette de Jean Prat (Claude Parmentier)
* opération Martine au L.O.U. (André Ribouton)
* deux demis, deux pour la Section : Maurières-Toyos (André Abadie)
* édition britannique : French, Ken Richards, Harris chez les treize (John Reed)
* apprendre le rugby (Robert Poulain)
* le beau souci des éducateurs (Jean Denis)
* pour améliorer la touche (Julien Saby)
* Yves du Manoir, rugbyman de légende (G. de Ferrier)
* Raymond Barthes : pourquoi les trois-quarts échapperaient-ils à la règle ? (Paul Roubin)
* Saint-Gaudens révélé avec Jean Barthe
* le coq beloteur (Alban Sardin)
N° 10 : novembre 1961.
Edito : Le remède et le mal Sommaire : * l’ailier puncheur, de Lassègue à Gabellotto (Robert Barran)
* un bel exemple : les 3 frères Claverie au T.O.E.C. (Henri Gatineau)
* et pan dans la boîte made in New-Zealand (Jean Denis)
* treize et tenu : est-ce une révolution ? (Robert Barran)
* la 2ème ligne agenaise Zani-Matkowski et l’ouvreur Hiquet (Artès Bigorre)
* Brive : un coup dur Lefèvre, un coup heureux Othats (Maurice Ragonneau)
* l’entente cordiale Vannier-Davidson à Chalon (Claude Parmentier)
* apprendre le placage (J.J. Saby)
* alerte au jeu brutal (Jean Denis)
* de Pouilhès aux frères Pujol à l’U.S.A.P. (A. Galy)
* Auch : Brouqqueyre sur la lancée de Justumus et de Barbé (G.Borda)
* petit aide-mémoire de l’éducateur (Robert Poulain)
* Toulon : la double succession d’André Herrero (Paul Dufaron)
* de Forgues à Larreguy les contradictions de l’Aviron Bayonnais (Michel Darcangues)
* Grenoble : Alberto, Greffe, Gely une étonnante 3ème ligne (J. Leal)
* Pau : cinq pour … trois en 3ème ligne avec Moncla, Marracq, Cantet, Mondeteguy, Sennes (futur joueur de Saint-Denis) (J.P. Dubenou)
N° 11 : décembre 1961.
Respectivement 3/4 aile et arrière.
Edito : Des idées qu’il faut bannir Sommaire :
* tous les problèmes de l’équipe de France (R.Barran et J.Denis)
* approuvée la Trinité Bouquet-frères Boniface
* Carrère et les Kiwis (Robert Barran)
* chez Rollet on est talonneur de père en fils (Jean Ricard)
* métamorphose à Montauban (Henri Gatineau)
* étonnant Graulhet (Henri Gatineau)
* à l’exemple de Mimiague Biarritz tente sa reconversion
* comme Casaux le Stadoceste Tarbais est encore améliorable à 30% (Claude Parmentier)
* les Lions de Grande-Bretagne « enfermés » avant l’Afrique du Sud (John Reed)
* Sharp ne sera pas encore cette saison l’arrière idéal (Jean Denis)
* présentation du rugby de Paris (Alban Sardin)
* apprendre le rugby : tenue du ballon et passe (Robert Poulain)
* dans le vide (Julien Saby)
* quand Momméjat juge Combes, son associé albigeois
* Béziers meilleur ou non ? Avec Vidal, Navarro, Bernatas (J.Delors)
* les avants de fer du XIII catalan (André Galy)
* Chambéry sur l’axe Ramada Antonuccio (Robert Barran)
N° 12 : janvier 1962.
Pilier Du XV de France de 33 ans à 37 ans
Edito : Le tournoi décisif de l’an 62 Sommaire :
* avant le Tournoi des Cinq Nations : Ecosse (Ian Osborne), Angleterre (John Reed), Galles (J.B.G. Thomas), Irlande (Paul Mac Weeney)
* les soucis tricolores (Robert Barran)
* comment naquit le Tournoi en 1871 (Jean Denis)
* Cahors, tel Roques (Claude Parmentier)
* Bègles : avec Ayphassoro et les frères Denjean (M. Lissonde)
* Romero l’homme de Bordeaux
* apprendre le rugby : les passes en courant(Robert Poulain)
* de l’Australien Rules aux Fidji (Roger Couderc)
* de Bordeaux 1957 à Bayonne 1961 comment le rugby roumain s’est adapté (René Deleplace)
* vœux pour le Coq (A.S.)
* la revue des espoirs de l’An neuf :Claude Laborde (Peyrehorade puis Racing C.F.), Philippe Sennes (Pau puis Saint-Denis), Maurice Lira (La Mure puis La Voulte), Raymond Rebujent (Perpignan), Pierre Gruppi (Villeneuve-sur-Lot puis Stade Bordelais), Robert Mata et Guy Darbas (Tarbes), Jean-Claude Olivier (Cognac), Jean Salut (T.O.E.C.), Claude Batut (Cahors), Jean-Claude Mignaçabal (Mauléon puis Romans), Pierre Puig (Toulouse)
N° 13 : février 1962.
Deux célèbres piliers de Tulle
Edito : Et après Murrayfield ? Sommaire :
* après Murrayfield
* autour de Roques et Domenech, la ronde changeante des piliers (Robert Barran)
* la deuxième carrière de Marquesuzaa (Claude Parmentier)
* l’exemple du village de Morlaàs – 1300 habitanrs (André Abadie)
* la retraite d’André Frémaux, après 15 ans au P.U.C. (Jean Denis)
* Lilian et Guy Cambertabero, la charnière de charme (Maurice Ragonneau)
* la chronique de Julien Saby : réflexions sur la touche
* France-Ecosse 62 ou la nouvelle partie de manille (Alban Sardin)
* apprendre le rugby : le jeu au pied (Robert Poulain)
* entraînement et musculation du rugbyman
* nos clubs : Tulle, Castres, Saint-Gaudens, Carmaux (Pierre Lesmaries, Claude Parmentier, Henri Gatineau)
N° 14 : mars 1962
Longtemps associé à Lucien Mias en 2è ligne du pack de France
Edito : Dans le sillage de Béziers Sommaire :
* Momméjat, l’homme calme et presque irremplaçable (Robert Barran)
* nos clubs : La Rochelle avec son pilote Elissalde (Claude Parmentier)
* à Toulon, Carrère et Herrero espèrent (Lino Durante)
* le rugby anglais : Sharp mais aussi 1819 clubs et 150.000 joueurs (John Reed)
* l’année Lacroix
* clé écossaise dev 300 kg pour l’Afrique du Sud (Jean Denis)
* alerte au Pays de Galles ? (J.B.G. Thomas)
* à propos de jeu offensif (Julien Saby)
* apprendre le rugby (Robert Poulain)
* la carrière exemplaire de Michel Celaya, de Biarritz au S.B.U.C. et 49 matches internationaux (Jean Ricard)
* Auguste Berasaluce, le 2ème ligne qui monte (André Abadie)
* Vigier, Leniaud, Chevallier, les mainteneurs de l’A.S.M. (Daniel Rocher)
* Ile-de-France, premier comité de France (Jean Denis)
N° 15: avril 1962
Edito : A sept et au Japon Sommaire :
* cinq tricolores à cœur ouvert : Pierre Albaladejo, l’ouvreur aux idées saines (Jean Denis), Roger Gensane, pas si « court » qu’on le disait (Robert Barran), Jean De Grégorio, le talonneur imperturbable (J.P. Dubenou), Romero, le gladiateur de Sapiac (Henri Gatineau), Claude Lacaze s’est fait un prénom (Claude Parmentier)
* Louis Vergé, un demi de La Trivalle (Pierre Devergnes)
* Albi, fief treiziste (Pierre Romanet)
* Michel Crauste, l’homme d’acier
* Bassagaits, Bouquet, Boniface et la nouvelle vague (Alban Sardin)
* apprendre le rugby : les contrôles (Robert Poulain)
* école de rugby à Brive
* coupe de l’Avenir : le grain ne peut mourir
* le championnat du monde n’est pas pour demain (Jean Denis)
* oppose-t-on Bouquet à Boniface ?
* l’ailier palois Latapie, efficacité et élégance (André Abadie)
* figures brivistes : Domenech, Othats, les frères Besson, Madelrieux
N° 16 : avril 1962
L’élégance même. D’accord ?
Edito : La richesse profonde du rugby français Sommaire :
* comment la « manchette » de Campbell-Lamerton sur Crauste provoqua le choc décisif à Murrayfield (Robert Barran)
* à Murrayfield une victoire qui marquait (photos)
* tableau d’honneur écossais : Ten Boss et Campbell-Lamerton
* un point technique du Tournoi (Robert Poulain)
* contre l’Angleterre l’éclat de Crauste et l’éclipse de Sharp
* tableau d’honneur anglais, quand même : Taylor et Roberts
* coup de semonce à Cardiff : huit gallois terribles et des exploits de Boniface inachevés (Jean Denis)
* au tableau d’honneur gallois : Rowlands, Nash … et les autres
* Bouquet, Boniface, Dupuy, les incompris de Cardiff
* l’Arms Park de Cardiff ce haut-lieu de l’ovale
* un final très positif contre l’Irlande : Momméjat, Claude Lacaze et Crauste signent 3 essais mémorables
* tableau d’honneur irlandais : English surtout
* souvenirs … souvenirs … (Claude Parmentier)
N° 17 : mai 1962
Edito : Encore un Tournoi de gagné ! Sommaire :
* le Bouquet des adieux (Robert Barran)
* le XV de France de l’Avenir (Jean Denis)
* Allaire et Matkowski (Maurice Ragonneau)
* Julien Saby : simplicité dans la recherche de l’offensive
* Maurières un étonnant personnage derrière la mêlée (JP Dubenou)
* les conclusions du Tournoi 1962 : hommage particulier aux avants gallois, à Claude Lacaze et André Boniface (Robert Barran)
* dédié à André Boniface (Alban Sardin)
* apprendre le rugby : éviter la défense (Robert Poulain)
* Bourges, un exemple de décentralisation
* les 5 frères Moro de Montélimar (Claude Parmentier)
* Valence parmi les Grands (Claude Parmentier)
* Michel Bardes, espoir du XIII Catalan (André Galy)
* Lira à la tête de la vague d’avants montante
N° 18 : juin 1962.
Edito : Vivre avec son temps Sommaire :
* Agen-Béziers, discussion au sommet (Robert Barran et Jean Denis)
* Lacroix dans un ensemble complet de Sitjar à Razat (Jean Denis)
* à la découverte de Zani (Jean Denis)
* André Berilhe, 15 ans (moins six matches) au service de l’U.S.Dax (Claude Parmentier)
*Bala a échoué sur le poteau (Claude Parmentier)
* des Italiens aux Roumains, le point à faire (Robert Poulain)
* conseils d’inter-saison (Robert Poulain)
* Agen-Dax demi-finale héroïque (photos)
* Valence-Figeac, la finale de 2ème division
* le rugby botté (Alban Sardin)
* Castelsarrasin, champion de 3ème division (J.P. Dubenou)
* l’exemple du Lycée Lakanal
* rugby à sept = quinze moins huit (Jean Denis)
* Henri Marracq, encore un de Pontacq (J.P. Dubenou)
* Albi-Villeneuve à travers Bescos, Merquey (Pierre Romanet)
* le rôle du demi de mêlée (Pierre Thiers)
N° 19 : juillet 1962.
Respectivement 3/4 centre et 3è ligne aile.
Edito : Hommage au S.U.Agenais Sommaire :
* la parole à Pierre Lacroix
* trois cas particuliers agenais : Louis Echavé ou la fidélité récompensée, Claude Salères le benjamin qui rêvait de boxe, Michel Arino deuxième réalisateur national (A. Bigorre)
* quatre Agenais avec les marins de Hourtin (Claude Parmentier)
* Claude Mantoulan 24 ans après Max Rousié (Pierre Devergnes)
* hommage de Lanfranchi à Moraru (Radu Ionescu)
* images d’une grande finale Agen-Béziers
* Béziers à l’heure du choix pour préserver son unité (Jean Denis)
* les Lions en Afrique du Sud (Jean Denis)
* le Du Manoir des Boniface (J.P. Dubenou)
* les deux belles (Alban Sardin)
* challenge Béguerre de consolation pour Lourdes
* la revue des champions de France : Figeac, Castelsarrasin, Annonay, Labouheyre, Belvès, Quarante
* comment le Racing joue et gagne avec ses juniors (Jean Denis)
* le réservoir catalan de l’U.S.A.P. (André Galy)
N° 20 : octobre 1962.
Edito : L’affaire Claude Lacaze Sommaire :
* Claude Lacaze à Angoulême (Claude Parmentier)
* Brive : huit ans ont passé (Jean Denis)
* trois atouts pour Toulon : Maso, Mouysset, Debru (Lino Durante)
* prologue (Alban Sardin)
* le retour de Bouguyon et le Stade Toulousain (Henri Gatineau)
* la 3ème ligne de l’U.S.A.P. : les frères Pujol et Ponseille (André Galy)
* Grenoble a son triumvirat : Lienard, Baque, Belletante (J. Leal)
* opération jeunesse à Lourdes : Gilbert Prat, Latane, Doux, Dunet … (Henri Gérard)
* études du MR : Dupuy 3ème ligne et Marracq treiziste
* les XIII comptent sur les Springboks (Jean Denis)
* au 9ème stage d’éducateurs avec Ionescu, Levorato et Théo Cazenave
* le style d’Agen et son esprit (Robert Barran)
* Péré détient pour Pau les clés de l’ouverture (J.P. Dubenou)
N° 21 : novembre 1962.
Edito : Il y a loin de Myreside. Poster : Jean-Pierre Razat (S.U.Agen) Sommaire :
* les problèmes de l’Equipe de France (Jean Denis) :
1.les piliers : qui après Domenech, Roques, Mas ? 2. les 2ème lignes : Momméjat ne doit pas être pivot unique 3. les 3ème lignes : avec Herrero, Lefèvre et quelques autres 4. des attaquants pour coller aux vues des Boniface
* sur la route des grands Capitaines (Robert Barran)
* les impératifs d’une bonne sélection (Alban Sardin)
* sélections et sélectionneurs : les principes et les hommes
* Maurice Lira l’homme nouveau du rugby français (M.S.)
* tous les palmarès de l’Equipe de France
* historique : première victoire à Twickenham le 24 février 1951
* le Gotha français 1962
* étude technique sur la mêlée (Robert Poulain)
* l’erreur du Major Waughan et des Lions (John Reed)
* renaissance du rugby en U.R.S.S. (A. Kouznetzoff)
* sommet d’histoire : dans le « fosse aux lions » de Johannesburg : 16 août 1958
N° 22 : décembre 1962.
Trois monuments du F.C.Lourdes .
Edito : Salut aux Pyrénées Poster : Guy Camberabero (La Voulte) Sommaire :
* Pau. Au rappel des champions de 28 (André Abadie)
* Oloron, Mauléon et Arudy
* Moncla et Saux, l’exemple vient d’en haut (J.P. Dubenou)
* Tarbes. Dans la lignée des grands arrières (Robert Barran)
* les cas Dupuy et Casaux (Robert Barran)
* à Nay, au temps … du cinéma muet (Alban Sardin)
* Bagnères et Vic Bigorre (G.Borda)
* Lourdes. Le record de Jean Prat (Henri Gérard)
* La comparaison Arnaudet-Vallès et Martine-Maurice Prat (Jean Denis)
* Lannemezan, Montréjeau et Lavelanet
* Saint-Girons. De Cahuc à Bonzom (Henri Gatineau)
* Foix. Avec Mognol et Pathenay
* apprendre le rugby : construction de la mêlée et talonnage (Robert .Poulain)
N° 23 : janvier 1963.
Edito : Nouveau départ Poster : Alfred Roques (Cahors) Sommaire :
* tout commença un lundi de 1871 sur un terrain d’Edimbourg (Jean Denis)
* les grands hommes du Tournoi 1962 : A.Pask, M.Campbell-Lamerton, T.Kiernan, C.Lacaze, B. Rogers (R.Barran et J.Denis)
* le chardon réactif du coq (Alban Sardin)
* formidables avants d’Ecosse (Robert Barran)
* ce que représentait Alfred Roques (Robert Barran)
* de l’essai de Billac à celui de Bréjassou (Henri Gatineau et G. Bordas)
* les enseignements de Galles-Angleterre : le règne de Richard Sharp est-il arrivé ? (John Reader)
* rugby d’Irlande à nul autre pareil
* Roe et Griffiths avant Wilcox, Mulligan et Thomson (J.P.Dubenou)
* apprendre le rugby : le jeu de la touche (Robert Poulain)
N° 24 : mars 1963.
Edito : Une personnalité acquise Poster : Claude Laborde (Racing C.F.) Sommaire :
* Vienne. 40 ans avec Etcheberry et Bouquet aujourd’hui (R.Barran)
* Grenoble. Trois cas (De Grégorio, Boujet, Lanfranchi) et les champions de 1954 (J.P. Dubenou)
* Valence. La parole à Charles Peraldi ‘Jean Oddoz)
* quand Romans se traduisait Soro (Jean Denis)
* questions à Julien Saby
* La Voulte autour de l’usine et des Camberabero (Robert Barran)
* Chambéry sur un thème Tourte-Ramada (Jean Denis)
* la 2ème division : Annecy et La Mure.
* la 3ème division : Lancey, Rumilly, DomèneVillefranche-sur-Saône,
* après Twickenham, vous avez de la veine Mr Sharp !
* apprendre le rugby : la tactique de la touche (Robert Poulain)
N° 25 : avril 1963.
Edito : Enfin le Board ! Poster : Jean De Gregorio (F.C.Grenoble) Sommaire :
* y a-t-il une crise du rugby catalan ? (Jean Denis)
* André Gayraud, 20 ans de fidélité à Béziers (Félix Pujol)
* Danos reste à la barre à Béziers avec Mas nouveau lieutenant (Henri Gatineau)
* la finale mémorable de 1929 Quillan-Lézignan (Alban Sardin)
* Narbonne et son espoir Spanghero (M. Aussenac)
* André Herrero, deux ans de rééducation
* Toulon : deux professeurs Carrère et Debru pour une école (Robert Barran)
* sur les traces des Brousse et des Puig-Aubert (André Galy)
* le Treize Catalan, Carcassonne, Lézignan et Limoux (A. Galy et J.P. Dubenou)
* après Angleterre-Ecosse et France-Galles (Robert Barran)
* apprendre le rugby : le jeu des arrières (Robert Poulain)
* le Tournoi 1963 : Sharp et Dupuy pour la conclusion (R.Barran)
N° 26 : mai 1963.
Edito : Au nom du futur. Poster : Maurice Lira (La Voulte) Sommaire :
* le tour de Jean-Claude Lasserre (Robert Barran)
* le XV de France que nous vous proposons (l’Oloronais Jean-Claude Petuya est cité en 2ème ligne)
* Boujet, Arnaudet, Maso, ce serait un beau trio (Robert Barran)
* le bataillon des Matkowski, Petuya et Dauga (Alban Sardin)
* il y a Boisson, Rupert et tant d’autres (Henri Gérard)
* les beaux documents de France-Italie
* rugby italien : de Levorato à Zani et à Perrini (J.P. Dubenou)
* juniors et scolaires : Mignaçabal à la tête de la relève (H. Gérard)
* les événements des seizièmes
* Quaglio de Saverdun à Roanne (Claude Parmentier)
* apprendre le rugby : le jeu des arrières (Robert Poulain)
N° 27 : juin 1963.
Dax : debout, de g à dr : Cassiède, Labadie, Dutin, Dubois, Contis, Ch.Lasserre, Berilhe, Berho, Desclaux. accroupis, de g à dr : C.Darbos, Wilhems, J.-C. Lasserre, Carrère, P.Albaladejo, Benedé, R.Albaladejo. Mont-de-Marsan : debout, de g à dr : Urbietta, Martinez, Cazals, Cès, Amestoy, Hilcock, Couralet, Tignol. accroupis, de g à dr : Darrouy, G.Boniface, Gourgues, Lestage, Alain Caillau, A.Boniface, André Caillau.
Edito : Dax ou Mont-de-Marsan ? Sommaire :
* Cahors battu par Batut, ce n’est pas si simple (Robert Barran)
* Chambéry et les anathèmes de Tourte (Jean Denis)
* Grenoble-Béziers, le quart sympathique (Henri Gatineau)
* Châlon et Vannier, un adieu en beauté (Claude Maydieu)
* le rugby français à l’heure landaise : les demi-finales Dax-Grenoble et Mont-de-Marsan
– Grenoble a plié devant le pack de fer de Berilhe (Robert Barran)
– la longue patience du Stade Montois pour trouver le salut face à Lourdes (Jean Denis)
* les glorieux vaincus des huitièmes : Mouysset et Toulon, Auch, Merckx et Tulle, Carrère et Tarbes (Lino Durante, Claude Parmentier, Robert Barran et Henri Gatineau)
* les deux nouveaux promus, Langon et Saint-Junien
* réflexions sur le magnétophone (Julien Saby)
* la finale des treize Lézignan-Saint-Gaudens (E.Bouffil)
* apprendre le rugby : tactique d’ensemble (Robert Poulain)
N° 28 : juillet 1963.
Edito : Bien à sa place Sommaire :
* si le championnat vous était conté … (Robert Barran)
* la révolte des 465 (Paul Voivenel)
* la Vierge Rouge en 1947 comme en 1912 (Henri Gatineau)
* le record d’Antoine Labazuy (Henri Gérard)
* la finale Dax-Mont-de-Marsan :
– Mont-de-Marsan champion ! Sept avants et Lestage pour une décisive reconversion (Robert Barran)
– le Stade Montois méritait la table des Princes (Jean Denis)
– Dax ou Bérilhe le colosse écroulé (Claude Parmentier)
– cette finale unique en son genre (Alban Sardin)
* la revue des autres champions 1963 : Langon, Pamiers, Beaune, Tournon, Saint-Saturnin, Sigean, Lannemezan.
* la tournée des Anglais en Nouvelle-Zélande (Jean Denis)
* rugby et cinéma : « le Prix d’un Homme » (Robert Barran)
N° 29 : octobre 1963.
Edito : Du regret à l’espérance Poster : André Boniface (Mont-de-Marsan) Sommaire :
* notre rugby est-il coupé du reste du monde ? (Jean Denis)
* Mont-de-Marsan : déjà des problèmes pour Fernand Cazenave
(Jean Denis)
* Dax : Desclaux jure qu’on ne l’y reprendra plus (Jean Denis)
* la Section Paloise : Duluc, Clavé et Lhandes pour reconstituer une attaque (André Abadie)
* Toulon : Bos et Capendeguy pour le renouveau offensif (L.Durante)
* prologue : « l’âme du rugby c’est l’audace » (Alban Sardin)
* de Mazamet (avec Petuya) à Perpignan (Robert Barran)
* Lourdes : Guy Faget prend la suite (Gérard Borda)
* Quillan : Burgas et Camiade ont fait un rêve
* Narbonne : à l’image des Spanghero et de Goar (Robert Barran)
* édition Alpes-Rhône : Grenoble, Chambéry, Valence, La Voulte, Romans (Jean Oddoz)
* édition britannique : Eric Evans sélectionneur à 38 ans ! (J.Denis)
* cinéma et All Blacks (Julien Saby)
N° 30 : novembre 1963.
Internationaux de Brive.
Edito : Des saisons et des hommes. Poster : Pierre Albaladejo (Dax) Sommaire :
* le rugby européen à l’heure néo-zélandaise (Jean Denis)
* la chronique d’Alban Sardin : l’indispensable conversion
* l’histoire de la 3ème ligne agenaise : Sitjar-Zani-Echavé (R.Barran)
* la chronique de Robert Poulain : les nouvelles règles
* Brive à l’heure offensive avec l’esprit de Puget (Robert Barran)
* le S.C.Tulle continue Merckx, prépare Orluc, propose Astarie (Robert Barran)
* Limoges et Saint-Junien (Jean Marc)
* l’A.S. Montferrand Michelin(Roger Tounze)
* Aurillac : un billet pour les seizièmes et la liberté pour Lefèvre (Jean Loussert)
* Vichy : son pilote Dufau et sa tour de contrôle Fort-Szymzak (J.-P. Dubenou)
Fin de la première partie (ouf !). Les parties 2-3-4-5-6 seront plus courtes puisqu’amputées de l’édito et du sommaire.
En 2014 Aurélie et moi avions créé (surtout elle) le site de Camin Casa (groupe de chant de l’Association occitane de Paris, l’Estancada), site alors accessible sur camincasa.fr. Hélas, le suivi n’a pas … suivi. Si bien que ce site, pourtant bien approvisionné en textes, tableaux, photos, a été supprimé par l’hébergeur du fait d’un paiement tardif. Négligence ! J’avais confectionné les diverses parties alimentant l’ouvrage avant de les envoyer par mail à Aurélie qui bâtissait ensuite ledit ouvrage. Je sauvegardais la plupart de ces écrits dans une clef USB, si bien qu’un bon nombre d’entre eux vivent encore. Je me propose donc de reformuler ces documents retrouvés et de rechercher d’autres originaux de documents disparus lors de la dissolution du site. Je compléterai par des commentaires supplémentaires, reviendrai sur des articles antérieurs du blog concernant Camin Casa et évoquerai un projet éventuel de reprise du groupe, souhait qui ne concerne pas que ma seule personne. Remarque :on distinguera nettement 2 types d’écriture dans ce qui suit. Une police concerne celle de la rédaction directe sur le blog, la présente, l’autre provient de textes issus de l’ancien Site de Camin Casa recopiés puis numérisés puis inclus dans l’article présent du blog.
Historique de l’Estancada et de Camin Casa.
L’Estancada.
C’est en 1984 que naquit l’Estancada (la Halte). Association regroupant des Occitans de la région parisienne ainsi que des sympathisants vivant au « pays ». On ne peut énoncer tous les adhérents qui s’impliquèrent et firent progresser l’Estancada, lui accordant même une certaine notoriété dans le Sud de l’Hexagone. On citera toutefois les noms des quatre principaux artisans de cette initiative : Dominique Pivot (Villeneuve-sur-Lot), Alain Sibé (Campan, Bigorre), Yves Salanave-Péhé et Philippe Labarère (tous deux de Monein, Béarn). Autour d’eux s’activaient des personnalités engagées, natives de l’ensemble occitan : Landes, Var, Béarn, Aveyron, Gers, Haute-Garonne, Tarn, Limousin , de la Corse, du pays catalan et aussi des ami(e)s non occitans mais intéressés par la démarche de l’Estancada et sa culture ouverte vers l’extérieur. Sans compter les visiteurs d’autres provinces ou même parfois de l’étranger.
La devise de l’Association, « Occitans faidits« , indiquait sa vocation à accueillir et soutenir les jeunes travailleurs de toutes ces contrées occitanes, venus chercher un emploi, et parfois un habitat, dans la région parisienne. Tout ce beau monde se retrouvait chaque vendredi soir, dans un premier temps dans un local aimablement prêté par la famille Salanave.
Parmi les secteurs d’activité de l’Estancada figuraient des Ateliers, souvent hebdomadaires : danse, cuisine, chant, volley-ball. De temps en temps certains membres participaient à des émissions de radio (Radio-Païs de Paris)et d’autres proposaient une ébauche de Calandreta organisée autour des enfants de l’Association. En plus du Liguet (le Lien) mensuel qui rendait compte des activités passées et du calendrier, l’Estancada publia durant plusieurs années une revue trimestrielle bilingue, lo Shiulet (le Sifflet), qui pouvait aborder des thèmes généraux intéressant les abonnés de la Revue, pas seulement sur Paris, et aussi quelques pages humoristiques. Un groupe de chant, los Tinhos (les Teigneux), sous l’impulsion de Dómé Pivot, animait les rencontres, débats, conférences, projections, soirées caritatives. Son répertoire se constituait de chants folkloriques de Gascogne et du Sud Est principalement, ainsi que des œuvres de compositeurs contemporains comme Claude Marti.
Après le départ de plusieurs membres de ce groupe, une deuxième entité vocale fut mise sur pied autour des « survivants » : on l’appela Camin Casa (le chemin de la maison), à connotation phonétique symbolique puisque prononcé « kami kaso » (nous n’avions pas anticipé l’apparition et l’essor des futurs kamikazes).
Camin Casa.
L’histoire de Camin Casa se divise en deux périodes.
La première de ces périodes débuta dans les années 90 et se paracheva par l’édition d’un premier CD, noté CD 1 par la suite. Les participants travaillaient encore presque tous dans la région parisienne. Répétitions et représentations sont décrites sommairement un peu plus loin ainsi que la constitution du groupe. L’ensemble reste plutôt vocal, s’appuyant sur un nombre restreint d’instruments de musique : guitare, flûte à bec, piano, percussions simples. En avril 1996, pour l’enregistrement de CD 1, Camin Casa reçut l’aide de quatre amis de Saint-Pée d’Oloron (64), de la même famille, pour un tiers des chansons.
A l’origine de la deuxièmepériode annoncée plus haut, différents événements qui bouleversèrent la composition du groupe : disparition de deux chanteurs, retour au « pays » de trois membres de Camin Casa, arrivée sur Paris de quatre nouveaux jeunes Béarnais, apportant leurs voix, leur tonus mais aussi quelques instruments supplémentaires (clarinette, percussions …), apport de deux autres musiciens vivant déjà à Paris (guitare, flûte traversière). Même si de nouvelles mutations peu à peu scindèrent la collectivité en deux parties (ceux du Nord et ceux du Sud, pour simplifier), l’envie de travailler et de faire connaître de nouveaux textes ne se démentit pas, se concrétisa par quelques prestations, sur Paris et en Béarn, et aboutit à l’enregistrement de CD 2 en mai 2008.
Nous pouvons maintenant détailler dans ce qui suit la composition du groupe, ses productions, son fonctionnement, ses projets éventuels.
Constitution du groupe Camin Casa.
Nous donnons d’abord les noms des 18 acteurs des deux CDs du groupe, ainsi que leur type de participation, vocale ou (et) instrumentale (musicale).
Sébastien ARRIEUX (voix, trompette) : CD 2
Yannick ARRIEUX (voix) : CD 2
Alain BERDOT (voix, guitare) : CD 1 et CD 2
Graciele BERDOT-VILLANUEVA (voix, piano, percussions) : CD 1 et CD 2
Michel BERDOT (voix) : CD 1 et CD 2
Séverine BERDOT (voix, flûte traversière) : CD 2
Jean-Pierre BERGÉ (voix, percussions) : CD 2
Constant BERGERAS (voix) : CD 1
Éloi BERGERAS (voix) : CD 1
Angèle FOURCADE-BERGERAS (voix) : CD 1 et CD 2
Jean FOURCADE (voix) : CD 1
Gilles GAYRAL (voix, flûte à bec) : CD 1 et CD 2
Sylvain GAYRAL (guitare) : CD 2
Philippe LABARÈRE (voix) : CD 1 et CD 2
Christian MAYSONNAVE (voix, saxophone, clarinette, basse) : CD 2
Joëlle PEYRILLER (voix) : CD 1
Servais SÉVERIEN (percussions) : CD 1
Alain SIBÉ (voix) : CD 1
Citons ensuite les noms des quelques amis qui eurent l’occasion de nous accompagner lors de quelques représentations : Michel Géraut, Jean-Mathieu Canniccioni, Henri Bousquet (guitare), Jean-Michel Haritchabalet, Bruno Bigué, Jean Traille, Laurent Pédelaborde.
Parmi les 18 membres de Camin Casa certain(e)s ont collaboré simultanément ou antérieurement ou continuent de collaborer avec d’autres bandas, chorales, ensembles vocaux ou musicaux …
Gilles Gayral, Michel Berdot et Alain Sibé sont issus des Tinhos de l’Estancada, Joëlle Peyriller provient d’une chorale gasconne de Paris. Dans les années 1970 à 1980 les frères Berdot eurent la chance de participer avec le groupe de Saint-Pée d’Oloron (mené par les Bergeras et Fourcade) au festival de Siros de la chanson béarnaise, à des émissions de Radio Oloron et à des fêtes villageoises. Jean-Pierre Bergé percute également chez les Pagalhós depuis pas mal d’années ainsi que chez les Copains d’abord à l’époque. Christian Maysonnave s’investit entre autres chez les Eclectics.
Si on se projette à l’an 2020 on trouve Jean Fourcade et Éloi Bergeras à Évada, Séverine Berdot à la Famil’ Óc et à la Chorale de Barétous, Michel Berdot à Passatge.
Terminons ce paragraphe par un hommage plein d’émotion à quatre disparus du groupe : Constant, Joëlle, Angèle et Gilles. L’écoute de nos deux CDs permet de les garder définitivement avec nous.
Fonctionnement.
Ce qui suit appartenait à l’ancien Site de Camin Casa.
Résumé des représentations.
Tableau extrait de l’ancien Site de Camin Casa.
Autableau précédent des représentations il convient d’ajouter un oubli : le 28 septembre 1996 participation au 30éme Festival de la chanson béarnaise de Siros.
Ami(e) lecteur qui aime les chiffres, en voici touchant aux répétitions. J’en ai comptabilisé autour de 280, en 16 lieux différents. Je ne vous inflige que les premiers de la classe, avec au moins 50 répétitions : apleguem-nse (94), mon país qu’ei la montanha (94), lo taulèr (80), Melinà (63), Nònò (58), atau qu’ei la vita (51). Discographie.
Nous reproduisons les deux listes de l’ancien Site de Camin Casa, suivies d’un ajout succinct.
Remarques : Les participants provenaient soit de Paris et sa banlieue, soit de plusieurs villages du Béarn. En ces deux occasions on ne put se réunir que pour une fin de semaine (et à chaque fois travailler et enregistrer 15 chants)
Entre ces deux productions de 1996 et 2008 on peut observer quelques évolutions qui concernent la composition du groupe et sa structure musicale, comme indiqué dans un paragraphe précédent. Les pochettes de CD 1 et CD 2
A gauche, CD 1. Sur la photo : Accroupis, de gauche à droite Graciela Villanueva, Michel Berdot, Philippe Labarère. Debout, au premier plan, de gauche à droite Servais Séverien, Jean Fourcade, Joëlle Peyriller, Constant Bergeras, Angèle Fourcade, Alain Berdot. En arrière plan, de gauche à droite Gilles Gayral, Éloi Bergeras, Alain Sibè. A droite, CD 2.
Sur la photo de gauche à droite : Yannick Arrieux, Séverine Berdot, Sylvain Gayral, Philippe Labarère, Michel Berdot, Gilles Gayral, Graciela Villanueva, Jean-Pierre Bergé, Sébastien Arrieux, Christian Maysonnave, Angèle Fourcade, Alain Berdot. Compléments sur les chansons.
D’autres textes sur Camin Casa ont déjà agrémenté ce blog. Après un « retour sur Camin Casa » publié le 04 mars 2014, je reviens en détails sur la genèse de toutes les chansons de chaque CD, en précisant la date et le lieu de démarrage de la chanson, parfois sa motivation. Pour CD 1 articles publiés les 14 et 22 février 2019, pour CD 2 les 05 et 27 mai 2019. Je complète par l’histoire des textes non parus et pour certains totalement inédits, les 08 et 23 avril 2020.
Les chants interprétés: titres et nombre d’interprétations.
On s’intéresse ici aux chansons interprétées par Camin Casa lors des 36 prestations citées plus haut, donc celles figurant dans les listes des deux CDs (26) mais aussi celles de compositeurs externes au groupe et 2 autres personnelles hors CD.
En plus des chants exclusivement béarnais la liste comprend un chant basque très connu, Hegoak, et une chanson traditionnelle en Français, « où vas-tu de cepas Nicolas ? » que le groupe de Saint-Pée avait interprété à Siros en … 1970.
Bon nombre des textes du CD 2 n’apparaissent pas dans les concerts car le CD sortit en mai 2008 et le groupe cessa de se produire en 2019.
Nous mettons en évidence les chants interprétés autour ou plus de 10 fois.
Atau qu’ei la vita (CC) 16 – Sonque l’enveja de marchar 5 – Marterór (CC) 2 – Pescaire de lua 16 – Que soi partit 1 – Jan 9 – L’Estancada (CC) 5 – L’Immortèla 14 –Nònò 17 – La mar 5 – Paisans de noste (CC) 6 – Apleguem-nse (CC) 15 –Montanhas sus montanhas 11 – Mau de còr (CC) 12 – Tostemps seguir (CC) 2 – Lo desbrombat(CC) 7 – T’on vas ? 5 – Nosta lenga (CC) 11 – Ací l’amor t’apèra (CC) 5 – Lo Guilhem13 – Amistat 1 – La nòvia 7 – Melinà (CC) 6- Coheta 2 – Color dolor (CC) 1 – Que’t vauparlar (CC) 2 – Mon país qu’ei la montanha (CC) 14 – Baptista (CC) 1 – Lo taulèr (CC) 9 – Cecila, Miquèu, Nicolau 3 – Praube de tu (C) 2 – Hegoak 2 – Lo desertor (CC) 2 – Aqueras montanhas 1 – Qu’es pertot (CC) 4 – Aimar (CC) 1 – Cap a Cap Nòrd (CC) 1 – Cap a Cap Sud (CC) 1 – Lomonde arrevirat (CC) 4 – Los tres motociclistas (CC) 1 – Comunicacion (CC) 1 – Canta beròia (CC) 1 – Encontre (CC) 2 – Mainada (CC) 1 – L’entròpia (CC) 1 Où vas-tu de ce pas Nicolas ? 1.
Cela donne un total de 46 titres : 29 de CaminCasa, 3 de Pagalhós, 8 de Nadau et 6 d’auteurs différents.
Les refrains des chants personnels.
Dans les 26 textes personnels de CD 1 et CD 2 seuls 15 comportent un refrain. Nous en livrons l’inventaire. Ací l’amor t’apera. Ací l’amor t’apera, tà la vita sancèra (Ici tappelle l’amour, pour toute la vie). Aimar. Qu’ei conjugat lo vèrbe aimar, per tots los temps, per tots los lòcs – Qu’ei conjugat lo vèrbe aimar, dab lo ton còs, dab lo ton còr (J’ai conjugué le verbe aimer, par tous les temps, par tous les lieux – J’ai conjugué le verbe aimer, avec ton corps, avec ton cœur). Atau qu’ei la vita. Atau son mas amoretas, pleas de navèras suspresas – Atau qu’ei la vita, un còp haut, un còp baish – Qu’ei com ua dança, pè dret e pè gauche (Mes amours sont comme ça, pleins de nouvelles surprises – La vie est ainsi, avec ses hauts et ses bas – C’est comme une danse, du pid droit au pied gauche). Canta beròja. Canta, canta, canta beròja – Canta, canta, dinc a doman- Canta, canta, canta beròja – Canta, canta, dinc au matiau (Chante la belle jusqu’à demain – Chante la belle jusqu’au matin). Cap a Cap. Cap a Cap, man a man, qu’ei la ronda deus sons – Cap a Cap, man a man, Atau dansan los mots (Face à face, main dans la main, c’est la ronde des sons – Tête contre tête, main dans la main, les mots dansent ainsi). Color e dolor. Cadun agrada ua color, jo m’adromi dab ua dolor – La musica s’ei estancada, hèsta n’i averà mei nada (Chacun préfère une couleur, moi je m’endors avec une douleur – La musique s’est arrêtée, il n’y aura plus de fête). Comunicacion. E permor qu’at sabè, la coda en darrèr, lo car qu’arroganhè, capvath de l’escalèr (Et parce qu’il le savait, la queue en arrière, le chien grognait, en bas de l’escalier). L’entròpia. L’entròpia, l’entròpia, ua foncion termodinamica – L’entròpia, l’entròpia, qui s’i freta, s’i pica (L’entropie, une fonction thermodynamique, qui s’y frotte s’y pique). Marteror. Qu’ei la cançon de Marteror, tà tu l’amor, tu Marilon (C’est la chanson de la Toussaint, pour toi l’amour, toi Marilou). Melinà. Melinà, Melinà, au còrn de ton còr guarda ua plaça- Melinà, Melinà, Que vam vàder vielhs amassa (Mélina, dans le coin de ton cœur garde-moi une place – Mélina, nous allons vieillir ensemble). Nosta lenga. Mes no calerè pas tocar a nosta lenga, qui luta tà non pas acabar engolida – Que vòli parlar, que vòli cantar, que vòli aimar, en Biarnès, en Òccitan (Mais il ne faudrait pas toucher à notre langue qui lutte pour ne pas finir engloutie – Je veux parler, je veux chanter, je veux aimer, en Béarnais, en Occitan). Praube de tu. Qu’as desbrombat de te’n arrider, los uelhs barrats, perdès l’ahida – Praube de tu ! On vas atau ? (Tu as oublié de rire, les yeux fermés tu perds l’espoir – Pauvre de toi ! Où vas-tu ainsi ?). Qu’es pertot. Qu’es partida d’ací, en deishar tot – Mes despuish per ací, qu’es pertot (Tu es partie d’ici en laissant tout, mes depuis par ici tu es partout). Lo taulèr. Lo cèu qu’ei tròp haut, la tèrra qu’ei tròp baisha, sonque lo taulèr qu’ei a la mia hautor (Le ciel est trop haut, la terre est trop basse, seul le comptoir est à ma hauteur). Tostemps seguir. Que cau tostemps seguir, quauqu’un o quauqu’arren – Que cau tostemps seguir, carrar’s e demorar darrèr (Il faut toujours suivre, quelqu’un ou quelque chose – Il faut toujours suivre, se taire et rester derrière).
Les thèmes abordés.
Pour la première fois « j’analyse » mes propres textes abordés dans les deux CDs par une classification en divers genres, ce qui n’est pas aisé car à l’intérieur d’une même chanson on peut trouver plusieurs de ces genres. Je dégage toutefois deux principaux « thèmes ».
Le relationnel, l’amour (bien sûr), parfois contrarié, dans huit chansons : Melinà, qu’es pertot, canta beròja, encontre, ací l’amor t’apèra, mau de còr, aimar, mainada.
La chanson dite « engagée« , sociale, avec six textes, principalement dans CD 1: apleguem-nse, paisans de noste, nosta lenga, lo desbrombat, tostemps seguir, praube de tu.
Et la montagne (quand même !) ? Si elle apparaît en plusieurs occasions par ci par là elle ne fait l’objet que d’une seule chanson à part : « mon país qu’ei la montanha« .
Et la fête (étonnant !) ? Elle aussi présente dans quelques couplets épars on ne la trouve à l’honneur exclusif qu’une seule fois : « lo taulèr« .
Pour le reste difficile de classer dans une seule catégorie car alternent des sujets divers où se mêlent descriptions de situations pas classiques (atau qu’ei la vita), utopie (lo mondearrevirat), nostalgie (color e dolor), plaisir de jouer avec les sonorités des mots (Cap a Cap), parodie (los tres motociclistas), personnel (mainada) …
Les amis et les liens de Camin Casa.
Coup de béretamical pour commencer aux deux ensembles qui nous inspirèrent lors de nos soirées endiablées , los Pagalhós et Nadau, icônes de la chanson béarnaise. Clin d’œil amical à d’autres groupes croisés lors de nos soirées vocales, comme Arguibelle (jeunes, par rapport à certains d’entre nous, de Lanne en Barétous), los de Lanna (des moins jeunes de Lanne), Traucas Segas, los Remparts de Navarrenx, »affrontés » lors d’une joute parisienne naguère, Arraya (qui s’intéressa à une de nos compositions, Melinà), los Esberits de Cardesse, Eysus, Lambrusquera, les nombreux ensembles d’Oloron et sa région comme la Samaritaine, Dilunès, Evada, Passatge, Montanhas e Ribèras … Salutamical enfin à des soutiens moraux et parfois financiers comme les viticulteurs Gaillot, Nigri, Larrieu-Lapeyre, les charcuteries Loge, Bergeras, les bergers d’Aramits.
Pour terminer, voyage sur Paris où à l’Estancada a succédé une autre Association : les Béarnais de Paris.
Dossier photos.
Cette première série de photos concerne les années 1991-92.
Les trois premières proviennent d’une fête de l’Estancada dans un Foyer PTT parisien, la quatrième d’une exhibition de Camin Casa à l’Ecole Diderot de Vitry-sur-seine, le 27 juin 1992. Photos 1 et 2 : de gauche à droite « sus l’empont » (sur l’estrade) Gilles Gayral, Philippe Labarère, Michel Berdot, Alain Sibé, Alain Berdot et Graciela Villanueva au piano. Photo 3 : les enfants de membres de l’Estancada s’apprêtent à chanter l’Immortèla.
D’autres photos compléteront ce paragraphe, elles font l’objet de recherches, en particulier celles prises lors des deux enregistrements de nos CDs.
Camin Casa et les Médias.
Radio.
Je me souviens de trois interviews auxquelles j’ai pu participer.
Avec Philippe Labarère sur Radio País Paris (radio associée alors à Radio libertaire).
Avec Angèle Fourcade sur Radio Oloron, lors de l’émission du mercredi soir de Janine et Jean Rongier, après la sortie du CD 2.
Sur Radio País Pau, questionné par David Grosclaude, aussi apràs CD 2.
Presse écrite.
Les journaux locaux, la République des Pyrénées et Sud-Ouest, ont parfois rendu compte de diverses interventions de Camin Casa sur scène, en région parisienne comme en Béarn. Bon nombre de ces articles furent regroupés dans la page « médias » de notre ancien Site et ont malheureusement disparu avec ce dernier. Les « rescapés » figurent dans les deux feuilles qui suivent, datées du 14 septembre 1992 et du 05 septembre 1996, avec la traduction en Français de mon interview, le 08 octobre 1996, par Jean-Paul Latrubesse, dans sa rubrique « Vent de Castanha », après la sortie de CD 1.
A ces commentaires de la presse écrite nous ajoutons l’affichette de la fête des 10 ans de l’Estancada (27 mai 1995), animée par Camin Casa et « los Tamponers », un « sous-groupe » des Pagalhós ».