Le schéma général proposé dans la première partie de ce reportage, publiée le 30/11/2017, permet de suivre de nouveaux parcours. L’introduction précédente, expliquant le pourquoi très personnel de toutes ces photos, reste valable bien entendu.
Rappel : la première partie concernait le cheminement du point 0 au point 9 dans le sens des aiguilles d’une montre (ça existe encore ?), donc en passant par 1‘-1–2‘-2–3–4–5–6–7–8.
Dans ce qui suit on démarre du point 9 pour 3 trajets successifs. Tout d’abord 1–2 vers 11 et la séparation en deux : 2 (vers 12) ou 1 (vers 14). Puis 3 vers 10. Il restera ensuite à remonter le Chemin des Barthes, de 14 à 2 en passant par 12 et 10.
D’où les 5 parties à venir :
Parcours 1–2 de 9 à 11.
Parcours 1 de 11 à 12 en passant par 13 et 14.
Parcours 2 direct de 11 à 12.
Parcours 3 direct de 9 à 10.
Parcours de 12 à 2.
Parcours 1–2 de 9 à 11.
Reprenons d’abord la dernière photo émise dans la première partie.
79. Nous sommes en 9, arrivant de 8. Au fond, à droite, le chemin se dirige vers 10. Au fond à gauche il se dirige vers 11.
On démarre à présent de 9 vers11.
80. Départ de la partie 1–2 commune après avoir laissé filer le parcours 3 vers la droite, vers le point 10 .
On se rapproche du point 11 comme l’indiquent les deux vues suivantes.
81. Sur la gauche du chemin se succèdent la haie, le pré, le bois, ce qui n’a rien d’original dans ces environs, alors que sur la droite les arbres dominent.
82. Dernière ligne droite qui aboutit au point 11.
Arrivée en 11.
83. Nouveau croisement en 11. Derrière nous le parcours 1–2 provenant de 9. À droite le parcours 2 qui plonge vers le point 12. Tout droit le parcours 1 prolongeant vers 13 et 14.
Parcours 1 de 11 à 12 en passant par 13 et 14.
* De 11 à 13.
Le parcours 1 nous conduit donc de l’embranchement 11 au point 13 .
84. Le départ de 11 début par une courbe.
L’arrivée sur 13 s’effectue après une légère montée.
85 et 86. De part et d’autre, en majorité des parties boisées avec un gibier d’importance dissimulé bien entendu. Dans tous ces environs les battues (au sanglier entre autres, mais aussi au renard ou au chevreuil)) sont organisées de temps en temps. Les batteurs – pourquoi pas les nommer ainsi – préviennent le quidam promeneur par des panneaux visibles (heureusement !).
87. Sur cette photo d’arrivée au point 13 apparaît nettement le virage vers la droite, à angle droit, en partance pour le point 14. Tout droit on pourrait s’enfoncer dans le bois par un sentier très étroit et parfois embourbé, et rejoindre la ligne à haute tension qui traverse la D 919. A gauche entrée du pré signalé dans le cliché suivant.
88. C’est souvent dans ce pré que Papi Berdot (c’est vrai qu’on le devient tous peu à peu, papi, alors précisons qu’il s’agit de Jean) débutait ses escapades à la recherche de champignons quand il venait s’oxygéner à Saint-Pée autour de la Toussaint. À peine descendu du train il enfilait sa salopette bleue dont la poche se gonflait vite de girolles et de cèpes surtout.
89. Retourné vers 11 j’observe le trajet qui vient de s’effectuer avant de tourner vers 14.
* De 13 à 14.
Ce chemin est appelé Barrat Gran.
En 13 on se remet dans le sens de la marche, vers 14.
90. La longue descente vers 14 commence.
Toujours encadrés de bois et de prés nous cheminons en empruntant la route finement empierrée qui descend régulièrement.
91 à 93. La longueur conséquente de cette piste mérite qu’on lui associe plusieurs plans. Si vous observez une grande similitude entre lesdits plans, vous avez parfaitement raison. Et ce n’est pas fini !
94 et 95. Toujours dans le sens de la descente vers 14 nous longeons à présent deux prairies entourées de bosquets et de châtaigniers où nous découvrons parfois quelques champignons dociles (pas question bien sûr de dévoiler ici la longitude et la latitude de ce riche lieu, point cardinal connu). À défaut de cèpes, pas de déception du côté des châtaignes à la saison adéquate.
Dernières vues entre 13 et 14 le long d’une descente de pente importante dont la photo ne rend pas tout à fait compte.
96 et 97. Derniers hectomètres de la descente.
98. Plat de la dernière ligne droite avec la maison Lapuyade au bout. Encore une fois les vaches posent.
Et nous atteignons enfin le point 14.
99. Le point d’embranchement 14 : en arrière le parcours 1 venant de 13, vers la gauche l’ouverture, en passant devant la maison Lapuyade, vers la D 919 et le point 15, et éventuellement le parcours 6, vers la droite la suite du parcours 1 menant au point 12.
Avant de parcourir la distance de 14 à 12, observons la portion de chemin entre 14 et le départ, dans le bois, du parcours 6.
100. Face au véhicule stationné devant la maison Lapuyade démarre, à angle droit par rapport au parcours 1, l’autre portion de route permettant de rejoindre la D 919 au point 15.
* De 14 à 12.
C’est parti : on quitte 14 pour le prochain croisement 12.
101. La route reste pratiquement plane entre ces les deux points nommés précédemment.
Après franchissement d’un petit pont surplombant un ru on découvre quelques maisons en bordure du chemin (marquées d’une croix sur le schéma général).
102. Le « pondiquet » et, au fond, la maison Garcia.
103. Nous arrivons devant la maison Garcia.
104. Le point 12 apparaît au bout de ce passage, encadré par les maisons Lahitte et Sagaspe.
Petit arrêt au point 12.
105. Au point 12 , intersection des deux parcours 1 (Chemin des Barthes) et 2, deux pancartes signalant les directions du Camp de César et du Bois de Bugangue.
Restant en 12, et avant de continuer le Chemin des Barthes, je me tourne vers le haut du parcours 2, c’est à dire vers 11.
106. La photo montre donc l’arrivée du parcours 2, en provenance de 11, parcours décrit dans le paragraphe suivant. À gauche la maison Sagaspe, à droite la maison Lahitte.
Parcours 2 direct de 11 à 12.
Ce chemin familièrement appelée Côte de Grégoire (nom d’une ancienne maison rasée située au point 12) est nommé Chemin dit de Lasserre sur le cadastre.
Nous revenons donc en arrière, en 11.
107. Le long trajet vers 12 commence, au début sur terrain plat.
108. De temps en temps on croise le panneau : « interdiction de chasser le faisan commun ».
109. Long trajet rectiligne au milieu des bois, tant à droite qu’à gauche.
110. À partir de maintenant on plonge vers le point 12 suivant une pente assez importante.
111. Dernier pré sur la droite en bas de descente avant la maison Sagaspe : un troupeau de vaches nous salue, espérant paraître dans la République des Pyrénées. »Paître et paraître » n’a jamais été dit par Sully.
112. Dans le fond sur la droite la trop grande luminosité de la photo empêche de distinguer le toit de la maison Sagaspe qui borde le point 12.
Le parcours 2 nous permet donc de rejoindre à présent le point 12, déjà aperçu précédemment en venant du parcours 1.
113. Les maisons Lahitte (gauche) et Sagaspe (droite) encadrent le point 12. En bas à droite le Chemin des Barthes conduisant au point 10 de notre schéma général. En bas à gauche le Chemin des Barthes se dirigeant vers le point 14 de ce même schéma.
Sur la photo une ombre : encore celle d’un photographe concurrent !
De nouveau nous remontons au point 9 pour suivre le parcours 3 de 9 à 10.
Parcours 3 de 9 à 10.
Ce chemin est nommé Tres Arrecs (trois ruisseaux). Sur le cadastre : Chemin Lagravette.
Au point 9 nous laissons le parcours 1–2 vers 11 pour « descendre » directement vers 10 par le parcours 3.
114 et 115. Les premiers mètres de ce parcours débouchent vite sur un virage vers la gauche et indiquent qu’il ne s’agit plus d’une piste ni goudronnée ni en gravier mais d’une succession de gros cailloux, trous, racines d’arbres, grosses touffes herbeuses. Comme on peut le constater, les photos ci-dessus ont été prises en deux saisons différentes, pratiquement du même point.
116. Après le virage se présente une une petite descente accidentée, et boueuse ce jour là. Sur la droite, au fond, on distingue la maison Betouig et la grande prairie attenante.
117. Vue d’une longue ligne droite (200 m) entourée au début de prés puis de bois avec des châtaigniers.
118. Une descente de pente plus importante bordée toujours de châtaigniers principalement.
119. En bas de cette descente périlleuse et boueuse on tombe, en restant debout, sur un croisement de 4 chemins. Notre périple concerne celui de gauche.
120. Je me retourne : le chemin d’où nous venons se situe donc vers le haut à droite.
121. Poursuivons notre balade avec une légère descente, toujours à travers bois. Sur la gauche on peut distinguer une épave de voiture peu distinguée.
122. La voie devient plus carrossable. Au loin une ouverture verdoyante devant laquelle nous allons nous arrêter dans quelques instants.
123. Retour à la civilisation puisqu’une bâtisse se détache au loin sur la droite.
124. Sur notre gauche le pré aperçu au loin précédemment, où Daniel Larroudé vient parfois faire paître son troupeau de bovins.
125. En face du pré Larroudé un autre havre de verdure qui nous rafraîchit après cet assez long cheminement au milieu de la forêt.
126. Avant-dernière ligne droite du parcours du jour. Un cabanon en bois se perçoit au loin.
127. Dernière ligne droite avant d’arriver au point 10 avec 4 demeures visibles dont les 2 citées un peu plus haut.
Nous atteignons le point 10.
128. En contrebas le point 10, sur le Chemin des Barthes. Au fond la maison Lapeyre-Navarret. Avant elle, sur la droite également, une nouvelle structure en bois constituée de deux entités : une habitation et une cabane, déjà apparue au loin précédemment. Celle-ci est réservée aux enfants accueillis au sein de La Capucine (Assistance Maternelle Agréée).
129. Cliché pris du Chemin des Barthes vers le haut du parcours 3 que nous venons de sillonner.
Maison et grange Lapeyre-Navarret sur la gauche (ancienne ferme jusqu’aux années 60). Sur la droite démarre le parcours 3 de notre itinéraire menant au point 9.
Parcours de 12 à 2 en passant par 10.
* Chemin entre 12 et 10.
Nous étions arrivés en 12 par deux trajets différents : directement de 11 (parcours 2) ou en passant par 13 et 14 (parcours 1).
Partant de ce point 12 nous continuons maintenant le chemin commun aux parcours 1 et 2, entre les points 12 et 10.
130. Le Chemin des Barthes va longer plusieurs demeures sur la droite, dont je ne connais pas le nom, comme celle qui apparaît sur ce cliché.
131. Sur la gauche s’épanouit le Bois de Saint-Pée. En coupant à travers ce Bois (pour voir si le loup y est) on peut rejoindre la maison Berdot située près du point 0 du schéma général.
Quelques vues d’approche du point 10.
132 et 133. Deux des maisons bordant le Chemin.
Une légère descente s’amorce, amenant au point 10.
134. La maison Lapeyre-Navarret (10) se découvre au bas de cette petite descente.
On se trouve à présent tout près de ladite maison Lapeyre-Navarret.
135. Au fond la maison Lapeyre à l’intersection de deux chemins.
136. Juste avant de rejoindre le point 10 une demeure en hauteur par rapport à la route.
Et nous voici arrivés au point 10 (déjà présenté dans le paragraphe précédent).
137. Maison et grange Lapeyre-Navarret sur la gauche (ancienne ferme jusqu’aux années 60). Sur la droite démarre le parcours 3 de notre itinéraire menant au point 9.
* Chemin entre 10 et 2.
On continue le Chemin des Barthes entre 10 et 2, partie commune aux 3 parcours 1–2–3.
138. Le chemin franchit un petit pont au-dessus du ru, au ras de la maison Lapeyre, ru qui ensuite longe notre verger, à la frontière du bois.
Photo suivante prise juste en face, sur le côté gauche du chemin donc.
139. Le sentier démarrant ici rejoint un pré de Larroudé séparé par une clôture de notre verger, dont l’extrémité se situe à 10 m de cet endroit. Les vaches et les génisses empruntent ce sentier, traversent le Chemin des Barthes et remontent le parcours 3 qui mène à 9, mais s’arrêtent avant dans une autre parcelle de Larroudé.
Une légère montée du Chemin des Barthes se présente maintenant qui nous fait découvrir d’autres habitations.
140. On vient de passer le pont : la route monte légèrement.
141. Sur la droite du chemin une maison jaune surélevée, bâtie assez récemment, visible depuis notre pré.
142. En fin de montée, sur la gauche, apparaissent notre maison Berdot et la ferme Larroudé. On distingue bien la clôture de séparation des deux prés.
143. Un peu plus tard en fin d’été le tulipier au milieu de notre verger se détache avec éclat.
On poursuit le cheminement entre 10 et 2 qui nous permet d’observer d’autres demeures.
144. La ferme Larroudé, en bordure de la Départementale 919.
145. Un peu plus loin, d’autres maisons sur la D 919, dont celle de Mado Casanave, parallèle (je parle de la Départementale, pas de Mado) au Chemin des Barthes en ces lieux.
146. Le point 2 se rapproche de nous, à moins que ce soit l’inverse. Au fond une des habitations située entre les points 2 et 1.
Encore quelques vues à proximité de 2.
147 à 150. Clichés pris sur la gauche du chemin avec des maisons soit sur la Départementale, soit sur le Chemin des Barthes entre 2′ et 1.
Apparaît enfin la maison Caillabet à droite, en bas du parcours 3.
Et nous atteignons le point 2.
151. Extrémité de la maison Caillabet à droite, avec le départ du chemin de 2 à 3. Au fond le point 2‘ du schéma général.
152. De face le début du chemin reliant les points 2 et 3.
La deuxième partie de notre périple s’achève en 2.
Une troisième partie suivra dans quelque temps.
Elle concernera le parcours 4 (voir haut du schéma général) qui démarre du point 6. Le trajet suivi apparaît dans le deuxième schéma ci-dessous : 6 –16– 17-D 919- 1.
Une quatrième paetie se déroulera sur la portion de la D 919 non encore décrite jusqu’alors : des points 14 à 15 (sur la droite du schéma général) pour revenir au point de départ initial 0.