Autour du château d’eau de Saint-Pée : quatrième partie.

Nous revenons sur le schéma principal utilisé dans les deux premières parties.
Le nouveau parcours décrit ici, que nous pourrions numéroter 1 bis, part du point 14, se dirige vers le point 15, en laissant sur le côté le parcours 6 marqué en pointillés, puis rejoint le point 0 le long de la départementale D 919, dite Route de Barétous.
Entre 14 et 15.
Les premiers clichés concernent donc les alentours du point 14.

190. Nous venons de quitter 14 vers la Maison Lapuyade, marquée d’une croix X sur le schéma.
Devant la Maison Lapuyade, avant de nous diriger vers le point 15 , on jette un œil sur le sentier s’enfonçant dans la forêt, parcours noté 6 sur le schéma, en pointillés.
191. Si on suit ce sentier on parvient sous une ligne électrique à haute tension. Cette HT, vers la droite, traverse la D 919 et, sur la gauche, mène au Camp de César. En poursuivant le parcours après la HT on rejoint un chemin goudronné qui ramène vers la D 919, en face de la ferme Bedecarrax.
Revenons au départ de la ligne droite qui va nous mener au point 15.
192. Au bout de cette ligne droite, cernée par la forêt, la D 919. Je suis encore suivi par mon ombre, mais je photographie plus vite qu’elle.
Encore un cliché avant d’arriver en 15.
193. À mi-chemin entre la Maison Lapuyade et le point 15. Sur les deux côtés la haie d’honneur dressée par le Bois de Saint-Pée. On peut y ramasser des girolles mais rarement des cèpes. Même si on en trouvait je ne le dirais pas, c’est la tradition ici, chacun pour soi (je ne parle évidemment que de la collecte des champignons). De part et d’autre du chemin, selon la saison, le chœur des oiseaux nous accompagne : pépiements, gazouillis, trilles, sifflements …
Arrivée au point 15.
194. Point 15 à l’intersection du Chemin des Barthes et de la D 919. À gauche direction Féas, à droite direction Oloron ville (Rappel : Saint-Pée est un Quartier d’Oloron).
Entre 15 et 0.
Pour commencer, trois vues à partir du point 15.
195. La D 919 vers Féas.
196. Prairie en face du point 15 de l’autre côté de la route. Au fond un bâtiment blanc en bord du Vert (le gave passant à Saint-Pée).
197. La D 919 vers Oloron.
Nous empruntons maintenant cette dernière direction.
Photos prises entre 15 et le Pont de Titène situé à l’entrée du village.
196. À main gauche une vaste prairie, vide des bovins habituels qui s’y ébatent selon la période de l’année.
197. Juste avant d’arriver au Pont, à main droite cette fois, un bloc de EDF (je n’ai pas encore réactualisé le nouveau nom de l’Entreprise qui cherche à nous vendre ses nouveaux compteurs Linky).
198. Panneau de signalisation d’entrée dans Saint-Pée, le Pont vient juste après.
199. On revient sur la gauche, juste après le Pont, avec 3 maisons appartenant à la famille Labourdette.
Sous le Pont de Titène que nous atteignons s’écoule le Ru (peut-être le Gouloure).
200. Vue plongeante sur le ruisseau. Il y a 60 ans de cela l’endroit servait de dépotoir, ordures ménagères principalement, car les déchetteries n’existaient bien sûr pas et la conscience citoyenne peu développée.
Deux dernières vues entre Titène et le point 0.
201. Juste après le virage de Titène, une photo d’un pré Larroudé avec en fond la Maison Berdot, au bout de l’Impasse du Gouloure.
202. Sur la gauche de la Départementale cette fois, une des Maison Labourdette et, au bout du chemin, la Marbrerie Darget. Durant notre enfance les lieux étaient occupés par la Scierie Lafourcade avant de se transformer en Marbrerie. Celle-ci va se déplacer quelques hectomètres plus loin, face au Lycée Professionnel Guynemer en fin 2018.
Arrivée au point 0.
203. Le point 0, terminus de ce parcours 1 bis, fut le départ des parcours 123 décrits dans les précédentes parties. On reconnaît l’entrée de la ferme Larroudé et le départ de l’Impasse du Gouloure. Dans le fond les Maisons Casanave et Oscamou.

FIN DE LA QUATRIÈME PARTIE.

Autour du Château d’eau de Saint-Pée : troisième partie

Les deux premières parties de ce thème, éditées en novembre 2017 et en janvier 2018, concernaient les parcours notés 1,2,3 sur le schéma (dit général par la suite) ci-après.

Cette troisième partie, numérotée 4 sur ce même schéma, démarre au point 6 (en haut à gauche). Le parcours est donné ci-dessous.

Nous le prenons dans le sens trigonométrique (ça me rajeunit, ce langage mathématique) 12′2345616 … La portion entre 1 et 6 a déjà été décrite dans la première partie. J’y reviens quand même avec une photo complémentaire.
Entre les points 5 et 6.
On vient de quitter le château d’eau 5 et on descend vers la Maison Estanguet 6.
153. Sur notre gauche, au lointain apparaissent quelques habitations d’Oloron et en particulier le haut du quartier Sainte-Croix. Plus près un troupeau de vaches paisibles qui ne nous regardent même pas passer. Laissez-vous bercer par le tintement de leurs clochettes (réel). Au fond du pré, sur la droite, on distingue la portion qui sera empruntée dans quelques instants de 6 à 16.
Du point 6 trois prises de vue.
154. En direction de la Route des Crêtes menant au village de Lurbe, route parallèle à notre chemin .
155. Nous allons quitter 6 pour nous diriger vers 16. La première partie est pratiquement horizontale. A gauche, le pré précédent et un peu plus loin la Maison notée M sur le deuxième plan général.
Je rajoute une vue à l’angle du pré déjà cité.
155 bis. Trois ânes paisibles, un seul affronte la caméra du regard.
Entre 6 et 16.
Juste avant d’arriver à la hauteur de la Maison M.
156. Je me retourne vers la gauche et retrouve le troupeau de tout à l’heure, un peu plus en altitude car le chemin commence à descendre légèrement. Augmentez le son afin que la musique des sonnailles continue d’enchanter vos oreilles. Sur la partie supérieure de la photo se profile le chemin que nous venons de quitter, reliant 5 à 6.
Nous voici devant M.
157. Depuis le point M la route plonge par une belle pente vers le carrefour 16.

On approche de ce carrefour 16.
158. On devine les 4 routes qui se croisent en 16.
On continue de s’approcher de 16.
158 bis. À l’horizon le Collège Tristan Derême et le Lycée Jules Supervielle d’Oloron.
Dernière vue avant d’atteindre 16.
159. Dans le pré du haut se côtoient chevaux, vaches, aigrettes (pique-bœufs). Les deux pâturages visibles sont séparés par la route notée (1) sur le schéma précédent.
Photos prises au point 16 .
En utilisant les symboles du schéma général.
160. Chemin (1) de Baccarau menant au village d’Agnos.
161. Chemin (2) conduisant au Camping d’Oloron puis au Quartier Sainte-Marie d’Oloron.
162. Sur la droite, chemin (3) vers lequel nous allons nous diriger.
163. Chemin (4) que nous venons de quitter.

Entre 16 et 17
.

Longue ligne droite empruntée de 16 à 17 par les automobilistes car elle constitue un raccourci entre le « boulevard périphérique » venant de la Vallée d’Aspe et la D 919 menant à la Vallée de Barétous. Sur cette même portion on rencontre souvent des promeneurs/randonneurs à pied ou en vélo.
164. Nous voici donc en début du parcours noté (3) sur le schéma pour nous diriger vers le point 17 qui donne accès à la D 919.
A venir, deux petits virages qui nous font éviter la somnolence.
165. Premier virage précédé d’un bois sur la gauche et de prairies sur la droite.
166. A l’amorce du deuxième virage l’ombre d’un individu photographiant dans mon dos.
Et maintenant on approche du troisième virage.
167. Mon suiveur et moi remarquons que le maïs n’a pas encore été ramassé, en ce premier novembre 2017.
Pour le prochain cliché je me suis retourné, non pas pour surprendre ledit suiveur, mais pour montrer un des récents travaux de la voirie oloronaise.
168. L’ouvrage annoncé n’a rien de remarquable au point de vue architectural mais amène à une remarque à venir. C’est un petit parapet en pierre qui signale l’étroitesse de la chaussée en cet endroit. En effet, plusieurs voitures s’embourbèrent dans le fossé par le passé lors de croisements périlleux. À l’aide de son tracteur Jean Oscamou les a souvent tirées de ce guêpier.
Revenons au sens de parcours initial en côtoyant diverses végétations et cultures.
169. Sur notre gauche, une plantation de conifères à laquelle participa Roland Labaigt, un copain de Bernard Bersans, coéquipier de plusieurs randonnées montagnardes.
170. Sur notre droite cette fois l’entrée d’un pré appartenant à l’époque à René Casenave et exploité par Bernard Oscamou.
On poursuit entre les deux fossés toujours menaçants de part et d’autre.
171. Une bonne ligne droite encadrée de bois à gauche et de prés à droite.
Et maintenant une de ces prairies, et qui plus est, boisée.
172. En cet endroit verdâtre, souvent paît en paix un troupeau de vaches, qui aurait pu faire l’effort de pauser pour la photo.
Question : quel peut-être l’intérêt de la prochaine photo ? Ce qui laisse entendre que toutes les précédentes sont intéressantes.
  173. Réponse : aucun. Ou alors envisager la possibilité d’une sculpture sur bois sur une des souches présentes.
Derniers clichés avant l’arrivée au point 17 .

174. Au loin apparaît la D 919, terme de cette portion de route.
175. Avant dernière ligne droite avec un espace forestier important sur la gauche.
176. Sur notre droite, au fond, la Cité (appelée Impasse maintenant) Mirande, parallèle à notre chemin (dit des Candaus). Du temps de notre jeunesse il nous arriva de livrer le lait de la ferme Oscamou à plusieurs habitations de la Cité, en tant qu’accompagnateur de l’Oncle Louis Estrate, les bidons étant placés dans la charrette que tirait le cheval Bijou.
177. Et voici le début de la dernière ligne droite au bout de laquelle on distingue un toit.
178. À quelques encâblures du point 17, entouré de quatre habitations plus ou moins visibles en fond.
Vue encore plus proche du point 17.
179. Les 4 demeures en question se détachent.
Arrivée en 17.
180. Le Chemin des Candaus vient de rejoindre la D 919 (qui s’appelait Route du 19 mars 1962 depuis le Stade de Saint-Pée, et qui prend à partir de ce croisement le nom de Route de Barétous). Sur la droite, absentes sur la photo, la Maison Lendres et 3 autres logis. Sur la gauche habitait Mlle Tuca, institutrice retraitée  qui venait chaque jour, à pied, chercher sa bouteille de lait chez Oscamou. En face démarre le Chemin du Poète, en l’honneur de Tristan Deresme qui habita dans un Manoir tout proche.
Entre 17 et 1.

On quitte les chemins pierreux pour la Départementale 919, vers le point 1 en direction de Féas et des villages de la Vallée de Barétous (Ance, Aramits, Lanne, Arette …).
181. On laisse donc derrière nous la direction d’Oloron et, sur notre droite, le Chemin du Poète que l’on voit contourner un pré Oscamou.
Une vue de la ligne droite conduisant à 1.
182. Au fond à droite la ferme Oscamou. Avant elle, à droite également le pré cité dans la photo précédente. À l’horizon la chaîne pyrénéenne (quel beau pays que le nôtre !). Sur la gauche le pré Calle et la l’ancienne ferme Poulit.
Je traverse la route pour illustrer la suite.
183. L’ancienne épicerie Louhau – dans les années 60. Quand on ne voulait pas pousser jusqu’à Oloron on y venait à vélo pour quelques courses de dépannage. L’Impasse qui la jouxte mène aux maisons Coarraze et Pantane.
184. Plus de détails sur l’Impasse citée plus haut.
La prochaine photo est prise du même endroit que les deux dernières.
185. Du même côté que Louhau, le pré Calle, entretenu par Oscamou et l’ancienne ferme Poulit. En grossissant l’image on peut apercevoir à l’horizon, au ras des feuillages, le Pic d’Arlas.
On se rapproche du point 1.
186. À gauche Poulit et à droite Oscamou. En face d’Oscamou, de l’autre côté de la D 919, l’ancien bistrot Estrate dont j’ai déjà parlé dans d’autres articles, bistro (volontairement j’élude le t final car les deux orthographes sont autorisées) ô combien formateur pour notre itinéraire de chanteur béarnais (entre autres).
Je me tourne perpendiculairement à la route pour un cliché de l’autre côté du pré Oscamou.
187. Quelques maisons disposées le long du Chemin du Poète. Et encore ce personnage qui me suit comme mon ombre.
Dernier cliché avant de conclure ce parcours 4 au point 1.
188. À droite une partie du toit Poulit. Sur la hauteur le point 4  du schéma général.
Le point 1.

189. Ce point  1 est à l’intersection de la D 919 et du Chemin des Barthes d’où est prise la photo. Sur la Départementale on retrouve des granges et le réservoir à maïs de la ferme Oscamou. Je l’ai sûrement déjà dit dans un précédent texte : le mur blanc sur la gauche de la photo nous servait de « fronton » sur lequel nous envoyions nos balles (pelotes) à l’aide de « chisteras » confectionnées à partir de journaux. La circulation était bien sûr peu développée à cette époque là. Et on connaissait l’heure de passage de l’autobus reliant Oloron à Mauléon via Tardets.

FIN de la troisième partie