13 janvier 2015
Il y aura une semaine demain que débutait sur Paris, d’abord à Charlie Hebdo, une succession d’assassinats et de prises d’otages. Ces « histoires » dramatiques, traumatisantes puis mobilisatrices entraient dans l’Histoire du pays. Face à ces moments emplis de douleur mais aussi d’espoir l’article qui suit paraîtra bien désuet. Commencé en décembre dernier, je viens quand-même de le terminer, m’accordant donc une page de détente et de vide au milieu des lectures, écoutes, reportages, rassemblements, défilés (Oloron et Pau pour moi). Même Midi Olympique, cité dans mon introduction, a quelque peu bouleversé sa pagination, s’intitulant « Charlie Olympique ».
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Comme annoncé dans la première partie « Midol et le SDUS » publiée en décembre dernier, les titres-en gras-et extraits d’articles parus dans Midi Olympique entre les années 1977 et 1983 se réduisent à quelques plaisanteries (ou qui se voudraient telles) ou jeux de mots, en abordant très peu les contenus techniques ou statistiques de ces articles.
Saison 78-79.(suite)
Après l’offense … l’offensive.
Offense : celle ressentie par l’équipe fanion, ne parvenant pas à se qualifier pour la phase finale du championnat.
Offensive : celle de cette même formation, en Challenge Delaud, délivrant au public dionysien de chatoyants mouvements. Offensive aussi : celle des dirigeants du club, décidés à compléter leur formation par de nouveaux éléments, déjà essayés lors des matches amicaux de ce mois ; en avril, ne te découvre pas d’un fil … mais découvre-toi plus d’un … fils venu agrandir la famille du S.D.U.S.
Bravo à la sympathique équipe de Josbaigt (Béarn) où instrumente l’ex Dionysien Serge De Coninck, qui manque d’un souffle la montée en Fédérale, mais dont la devise mérite d’être citée : « Victoire ou défaite, à Josbaigt, le rugby c’est toujours la fête« .
Saint-Denis reçoit un … Avril favorable.
Mois d’avril en effet favorable aux équipiers séniors, vainqueurs successivement des Finances (en Delaud) et de diverses équipes de Vincennes, du Métro, du P.U.C. (en amical).
Puisse le mois de mai voir nos deux formations poursuivre leur série victorieuse et confirmer l’adage : le S.D.U.S. au printemps pratique un rugby content ; le S.D.U.S. au printemps sème des essais tant et tant.
Saint-Denis : le Delaud tombe à l’eau.
Chaque année le S.D.U.S. connaissait des hauts en … Delaud (challenge). Cette saison ce furent plutôt des bas, et même des ébats dans l’eau car le Delaud n’eut pas son halo habituel, le mauvais temps contrariant souvent les galops des 31 acteurs..
Du sang neuf en (mille) neuf cent … 80 à Saint-Denis.
La saison s’achève par quelques matches amicaux et déjà les responsables du S.D.U.S. scrutent l’horizon de la prochaine. Dédé Le Magouarou met le point final à une carrière ô combien remplie, quelques juniors vont changer de catégorie, on va retrouver avec plaisir le deuxième ligne Jeannot Pol, de retour au club après 3 saisons passées à Clamart : sa robustesse et son engagement apporteront du tonus aux avants que lancera Michel Rogel. Mais ce dernier ne retrouvera pas Alain Berdot à l’ouverture puisque l’ancien capitaine du S.D.U.S. « remettra » ça pour une année au Mexique où il entretiendra la forme du mieux qu’il peut.
Une sélection d’Ile de France disputait ces derniers dimanches des matches de propagande lors desquels Saint-Denis offrit le concours de quelques uns de ses meilleurs éléments de la saison : Serge Solana, Claude Fillol et Gilbert Léger. Sympathique récompense pour nos trois valeureux garçons, ravis de participer à des rencontres au rythme plus élevé qu’habituellement.
Saint-Denis : des nouveaux … et du renouveau.
Les rencontres amicales du printemps fleurissent souvent d’anecdotes et de curiosités. Ainsi, il ne se passe pas de match sans que le 2ème ligne René Ballin n’inscrive son essai, narguant ses camarades de l’arrière. On connaissait Alain philosophe, voici Ballin file au but.
Quant au jeune Ripoll, il étrennait d’un … 7ème poste contre Soisy : trois-quart aile, venant après ceux de pilier, talonneur, 3ème ligne aile, demi de mêlée, demi d’ouverture, centre. Être à la fois Paparemborde, Gallion et Gourdon, faut l’faire !
Songes (rugbystiques) d’une nuit d’été.
La saison 78-79 à peine terminée, les équipiers dionysiens préparent déjà la prochaine … dans leur sommeil.
Dans leurs rêves, les piliers D.Ballin, J-J.Dhieux, D.Solana enfoncent la muraille de Chine : de quoi faire rire … jaune les futurs dragons adverses.
Les talonneurs Devaux, G.Gay, S.Ripoll observent que leurs crampons se prolongent de longues dents métalliques propres à ratisser des ballons consommables : c’est l’pied (prolongé dans un certain état … long).
Les 2ème lignes T.August, R.Ballin, C.Hanicot, Doumenjou expérimentent des chaussures munies de ressort, survolent les touches et … volent quelques touches dans l’assistance féminine.
Les 3ème lignes aile H.Barrera, M.Blavy, J-F.Démery, P.Fillol, M.Garcia dévoilent un moteur neuf dans leur organisme, qui leur permet de tisser un, deux, trois rideaux.
Le 3ème ligne centre S.Solana, plébiscité par tout un peuple, se demande s’il mérite tant d’honneurs : comme dirait Claude de Narbonne, il se fait du mauvais sang, héro.
Les demis de mêlée M.Rogel et D.Roques se transforment en anguilles agiles et se glissent à travers les mailles d’un filet à demi-emmêlé.
Les demis d’ouverture G.Léger et L.Solana deviennent des plaques tournantes et distillent avec harmonie et sans parcimonie leur manne à des équipiers voraces.
Les centres E.Bavière, P.Leray, Montolio se munissent d’un accélérateur foudroyant qui les propulse dans des trous d’épingle : les voici troubadours, maîtres de trous balourds.
Sur les trois-quarts-aile Carriquiriborde, J.Coulon, L.Malivert, O.Tomaier croissent des ailes grâce auxquelles ils s’engouffrent dans d’étroits couloirs qui mènent au paradis, délimité par une ligne blanche transversale : la foule est ravie et les ailiers ailés hélés.
Les arrières C.Fillol et S.Guillot se découvrent des doigts aimantés … aimant attirer à eux cet étrange objet ovale qui dérive dans le ciel.
Les « anciens » F.Añon et D.Le Magouarou remettent ça pour un an.
Le Président G.Barreau se voit pousser une troisième main, nécessaire pour pour distribuer toutes les demandes de mutation, réclamées par les nouvelles recrues.
Les entraîneurs J.Dubrana et C.Dubot disposent d’une pelouse verdoyante à l’année longue, d’un joug rutilant, et doivent sélectionner les éléments désireux de participer à l’entraînement car les vestiaires ne suffisent plus.
Le préposé au tableau d’affichage exige une 3ème case pour placer ses chiffres.
Les dirigeants des juniors R.Raluy et C.Hendryziak restent écoutés et suivis de leurs poulains, toujours à la une et à la hune du club.
Les responsables de l’École de Rugby G. et M.Léger, J-Y.Périssel se multiplient pour satisfaire leurs ouailles attentives et avides d’apprendre.
Les réservistes se bousculent chaque dimanche pour former une, deux, trois équipes.
Le trésorier L.Solana tempête contre les bénéfices trop élevés et difficilement comptabilisables.
Le responsable aux équipements I.El Harim dispose de maillots infroissables, indéchirables, insalissables, indéboutonnables.
Les supporters et amis s’usent leurs mains encornées à force d’encourager et applaudir leurs favoris.
Entre ces rêves de l’été et la réalité de septembre, quelques semaines de repos, de voyages, de soleil. Bonnes vacances à toutes et tous.
Saison 79-80.
Bons débuts à Saint-Denis.
Le premier match de Challenge Delaud contre Soissons permettra d’étalonner sérieusement la formation dionysienne. Si les pluies de cette fin d’été persistent on pourra, à l’occasion de ce Challenge … Delaud, noyer le … Soissons.
Retours au sein du nid … à Saint-Denis.
Pour son troisième match de la saison face à l’A.C.B.B. en Challenge Delaud, le S.D.U.S. retrouvait son demi de mêlée Michel Rogel, le centre Éric Bavière et l’inusable Francis Añon. Le coach Dubrana disposera bientôt de tout son monde puisque, par rapport à l’an passé, seuls manquent encore à l’appel … le militaire Leray, Blavy, Malivert et les frères Ballin, sans compter Dédé Le Magouarou et Luis Solana, dont l’intention serait de raccrocher les crampons ; mais sait-on jamais avec le démon du rugby : ce démon est parfois merveille.
Saint-Denis avant l’ouverture.
Au moment où son Sud-Ouest natal est survolé par les palombes, il ne fait pas … l’ombre d’un doute que l’entraîneur Dubrana espère, en ce nouveau championnat, voir son équipe survoler le haut du classement de la … poule.
Saint-Denis fiévreux à … Évreux.
Hélas, pour la reprise du championnat, ce ne fut pas la fièvre du … dimanche après-midi : les Dionysiens n’étaient pas survoltés comme Travolta et il n’était pas question que Saint-Denis défit … Évreux.
Ce résultat négatif n’empêchera pas le sursaut attendu lors des prochaines confrontations. Ainsi, Le Havre rendant visite à nos séniors, il devrait venir du port, le salut, cependant qu’en recevant les Nordistes d’Arras, nos juniors prouveront qu’ils ne sont pas encore trop … harassés et qu’ils n’en ont pas encore … Arras le bol du rugby.
La plus « grande » 3ème ligne de 3ème division ?
L’entraîneur Jean Dubrana dispose à présent de quatre 3ème lignes d’au moins 1m90, avec Doumenjou, Patrick Fillol, Guignon et Serge Solana. Mais le tonique Michel Garcia, de retour contre Le Havre, postule lui aussi à une place de flanker, à condition que cheville et clavicule répondent.
Neuf visages … neufs à Saint-Denis.
La série noire continue à Saint-Denis, noire comme la boue des terrains actuels, noire comme la Toge que revêtiraient les esprits du mal du rugby. Contre Courbevoie le pack dionysien était privé des cinq joueurs chevronnés et athlétiques que sont Serge Solana, Patrick Fillol, René Ballin, Doumenjou et Garcia, sans compter le militaire Blavy, cependant que dans les lignes arrières faisaient défaut Roussel, Carriquiriborde et Tomaier. Devant cette épidémie de blessures, l’entraîneur Jean Dubrana n’a d’autres choix que de lancer dans le grand bain de nouveaux éléments : pas moins de neuf depuis le début de championnat, par rapport à l’équipe habituelle de la saison passée. Il s’agit des nouvelles recrues Montolio, Doumenjou, Roussel, de l’ancien junior Guignon, de l’actuel junior Périssel, de l’ancien réserviste Ripoll (qui assure la succession de Le Magouarou), de Daniel Roques (homme protée des lignes arrières), de Bernède et Kiss, les piliers, dans tous les sens du terme, de l’équipe II.
Après la bile … le bilan.
On connaît les soucis rencontrés depuis le début de saison par les responsables dionysiens pour faire face aux nombreuses et sérieuses défections, dues à des fractures (Serge Solana, Michel Rogel, Pacha), des opérations(René Ballin, Roussel), ds indisponibilités de longue durée (Doumenjou, Tomaier, Garcia, Carriquiriborde). Si bien que lors des neuf matches de cette phase aller, pas moins de 31 joueurs revêtirent au moins une fois le maillot de l’équipe fanion.
Vœux de poule.
La situation difficile dans laquelle se trouve le S.D.U.S. à la fin ses matches aller n’engendre tout de même pas trop de morosité chez ses sociétaires qui croient au renouveau de 1980. A l’aube de cette nouvelle année, assemblons pêle-mêle, dans le même panier, les vœux de la poule 2, aux participants de laquelle Saint-Denis souhaite des joutes à venir emplies de sportivité et de … réussite.
Meilleurs vœux donc à Évreux, Le Havre, Saint-Pol, Pontoise, Courbevoie, Les Mureaux, Suresnes, Puteaux et le S.C.U.F.
Afin de remonter sans tarder vers les sommets on attend du S.d.u.s. qu’il emprunte les chemins les plus droits menant au succès, mais aussi, s’il le faut, une Courbe … voie. Alors, aucun obstacle ne saura le détourner, ni les « Murs … hauts » qui dominent la Basse Seine, ni Suresnes qui voudrait pourtant devenir, c’est sûr, reine de la poule. Puis, avant de faire ses adieux à Chevalier et son équipe, il faudra ressortir le vieux slogan : « Puteaux mourir qu’être vaincu ». Il restera à affronter les vieux amis du S.c.u.f. au cours d’une troisième mi-temps « homér … hic ! » et conclure : »ça S.c.uf. … fit » pour cette saison.
Désespoir et des espoirs.
Les jeux sont faits. Suite à sa défaite (10-22) au Havre, le S.d.u.s. ne peut plus espérer échapper à la descente en division Honneur. Dure réalité pour ce club qui manqua de nombreuses fois la montée en deuxième division, parfois de fort peu, la dernière occasion se présentant en 1976, avec, comme rescapés actuels : Hanicot, Serge Solana, Claude Fillol, Rogel, Démery, Bavière, Malivert, Léger. Pour l’instant Saint-Denis accuse le coup et finit sa saison en incorporant des juniors qui amènent un peu de dynamisme et de fraîcheur. Après Desruissaux à la mêlée et Périssel au talonnage, voici Brousse à l’arrière puis à l’ouverture, et Morel à l’aile. Avec de tels espoirs, pas question que Saint-Denis cède au désespoir d’autant que la réserve de Démery (quand celui-ci n’instrumente pas en équipe fanion) progresse et dispose d’un effectif qui gonfle en fin de saison.
Saint-Denis : bilan et bile an 80.
A l’issue du championnat de France 1979-1980 Saint-Denis termine neuvième de sa poule, qui ne fut donc pas une poule aux œufs d’or.
A la une … les juniors de Saint-Denis.
Depuis le début de saison, cinq juniors ont instrumenté en équipe I : Pascal Brousse à l’arrière, Alain Chollié au centre, Éric Desruissaux à la mêlée, Bidou Morel à l’aile et Jean-Yves Périssel au talon ou en troisième ligne.
Ces juniors méritent donc la une, puisque, placés à la hune du vaisseau dionysien, ils en font la présente fortune. Grâce à eux, le S.d.u.s. contourne les dunes ensablées érigées par l’adversaire. Que ne feraient pas nos jeunes pour aguicher quelques brunes opportunes qui, des tribunes, suivent du regard les tuniques des « bleus et blancs » ? Sans vouloir viser la lune, ni se considérer comme uniques en leur genre, ils veulent sortir leur club et Gérard Barreau, leur Président, du tunnel de la division honneur. Pour cela, point besoin de leur verser quelques tunes, ils jouent pour des prunes … sans en distribuer, exhibant ainsi des qualités communes à bon nombre de jeunes de notre univers rugbystique.
Saison 81-82.
Les familles du rugby dionysien.
A Saint-Denis officient trois frères Solana en équipe première : le pilier Didier, le troisième ligne centre Serge (meilleur marqueur d’essais avec quatre actuellement) et l’ouvreur Luis (le buteur auteur de 25 point pour l’heure). Il convient d’ajouter leur père Luis : trésorier du club de Gérard Barreau et des vice-présidents Dubot et Périssel. Fait encore plus rare, on vit opérer face à Ris-Orangis, en réserve, le père Francis et le fils Didier de la famille Añon.
S’il appert que la paire, guère éperdue père-fils, perd, dans son repère, ce match (10-14), les conseils réitérés du père (sévère) feront progresser le fils. Ce dernier, après des fêtes de fin d’année à la mer, découvre l’amère défaite. S’il n’est pour l’instant guère épais (comme disait Tolstoï), Didier commence tôt son apprentissage rugbystique, prêt à suivre les traces encore chaudes de son père Francis et celles de ses oncles Jean-Pierre et Alain, qui instrumentèrent aussi au S.d.u.s. voici quelques années. [ Remarque : quelques années plus tard Francis et sa femme Colette devinrent responsables de la buvette du club, située alors sous les tribunes].
Ce même jour se produisirent les frères Djelloul au centre de la ligne de trois-quarts, et les cousins Morel au sein de la ligne d’avants.
On a coutume de parler de la grande famille du rugby ; on peut lui associer le rugby en famille.
Saison 82-83.
Saint-Denis au paradis.
Après trois saisons de purgatoire en honneur, le club de Gérard Barreau et Jean Périssel retrouve le paradis de la troisième division, grâce à sa victoire contre Tourcoing, à Soissons (12-3). Ce jour de gloire tant attendu depuis quelques années, on le doit à des joueurs qui entrent dans le gotha du rugby à Saint-Denis, à leur tour. Avec leur entraîneur Éric Blanc, ils méritent d’être cités, ces quinze vaillants : Desruissaux (capitaine), Malivert, Chollié, Brousse, Hameau, A.Berdot, Rogel, Doumenjou, S.Solana, Périssel, Le Gal, Hanicot, D’Hieux, Chambon, Bernède, auxquels on ajoutera ceux qui n’auront manqué que ce match : Léger et Leligné ainsi que les remplaçants Thierry et Marc Gaignard, Francis Añon, Alibert et Dubié.
Saint-Denis : un qualifié mais aussi un cas.
Pour terminer, deux photos des équipes I et II du SDUS de cette époque. Malheureusement quelques noms me manquent, ainsi que quelques prénoms (et quelques orthographes douteuses). J’espère que l’un d’entre vous me les communiquera ou les corrigera. Je m’aperçois aussi que certains cadres de l’équipe fanion de ces mêmes années ne figurent pas dans ces deux clichés : Luis Solana, Michel Rogel, Alain Berdot, Jean-François Démery, Dédé Le Magouarou, Serge De Coninck, Éric BAVIÈRE … J’essaierai de les retrouver sur d’autres photos.
Équipe I.
Debout, de gauche à droite : Stéphane RIPOLL, Claude DUBOT (Président), Didier SOLANA, Christian HENDREZIAK (entraîneur), Jean-Jacques D’HIEUX, Marc BLAVY, René BALLIN, Claude HANICOT, Jean-Luc CIAIS, Serge SOLANA.
Accroupis, de gauche à droite : Éric DESRUISSAUX, Jean-Jacques (?) CARRIQUIRIBORDE, Alain CHOLLIÉ, Gilbert LÉGER, Laurent MALIVERT, X, Pascal BROUSSE.
Équipe II.
Debout, de gauche à droite : Michel BERDOT (dirigeant/presse), Alain BERNÈDE, (?) SCHLACHTER, Jean-Marie LELIGNÉ, Jean-Yves PÉRISSEL, Franck LE-GALL, Thierry ou Marc (?) GAIGNARD, Patrick (?) LELIGNÉ, Pascal DESRUISSAUX, Jean PÉRISSEL (dirigeant)
Accroupis, de gauche à droite : Francis AÑON, (?) MONTOLIO, Didier ROQUES, Jean-Yves (?) POURIAS, Alain CANDAU-TILH, Alain ROUILLÉ, Jean-Jacques HAMEAU